Les scientifiques indépendants tirent la sonnette d’alarme depuis plus de vingt ans maintenant. Ils sont systématiquement ballotés, discrédités, dès qu’une étude démontre un impact potentiel sur les êtres vivants. Un schéma intelligent se met alors en place par certains organismes pour qu’une autre étude soit publiée pour la contrecarrer.
« Par principe le simple fait de contrecarrer un fait permet de ne pas le reconnaitre » Les industriels l’ont bien compris, c’est pour cela qu’il existe autant d’études financées par les lobbies que d’études indépendantes !
Bon nombres d’études scientifiques et épidémiologiques mondiales et indépendantes (*) pointent du doigt le fait que la surexposition des champs électromagnétiques est dommageable pour la santé :
Une norme légale n’est pas une limite biologique. Les normes actuelles varient d’un pays à l’autre, sans tenir
compte de la population des 0/15ans qui sont les plus vulnérables et les plus fragiles.
Les champs électromagnétiques industriels n’existent pas dans la nature, nous les utilisons au quotidien comme
si cela était tout à fait naturel, comme s’il était logique que notre corps s’adapte ! Invisibles, inodores mais
identifiables et mesurables par chance !
Les médecins ne sont pas informés de l’impact et de la nocivité potentielle des champs électromagnétiques au
cours de leurs études médicales et dans leur pratique quotidienne de thérapeute. Un grand nombre de
scientifiques indépendants dénoncent les effets sur l’organisme face à cette urgence sanitaire.
(*) Les études scientifiques et épidémiologiques mondiales et indépendantes sont citées tout au long des
thèmes abordés.
2012 : La psychologue américaine Jean M. Twenge étudie depuis vingt-cinq ans le
comportement social et affectif des jeunes. 2012 est une année charnière, plus d’un ado sur deux était
équipé d’un Smartphone. Aujourd’hui, c’est quatre sur cinq.
https://www.theatlantic.com
Durant cette période, les évolutions suivantes se sont produites. Elles concernent toutes les classes
de la population, riches ou pauvres :
2015 : Le Dr Mickael Maier, Président de l’IDEA (association des Médecins irlandais de
l’environnement) déclare « le syndrome des micro-ondes cause un handicap pour une grande
partie de la population. Nous pensons que la preuve est aujourd’hui écrasante »
Plusieurs études nous alertent sur l’utilisation abusive des Smartphones chez les adolescents. Selon
des scientifiques de l’Université de San Diego, « les adolescents qui ont besoin en moyenne de 9h
de sommeil par nuit sont loin du compte » Pour savoir si leurs jeunes compatriotes dorment assez, les
données de deux enquêtes ont été menées auprès de plus de 360 000 adolescents.
Résultat, en 2015, quatre ados sur dix dormaient moins de 7 heures par nuit, soit 58% de plus qu’en
1991 et 17% de plus qu’en 2009. Pas très surprenant, les addicts aux objets connectés,
Smartphones, IPad…étaient aussi ceux qui dormaient le moins.
De plus, les auteurs rappellent que : « la lumière bleue émise par ces écrans interfère sur le rythme
veille-sommeil » et
conseillent aux ados de limiter l’utilisation des Smartphones à 2 heures par jour pour retrouver un sommeil de qualité.
2016 : L’Anses avait déjà pointé les « effets possibles » des téléphones mobiles et des
jouets radiocommandés sur les fonctions cognitives et le bien-être des plus jeunes qui ainsi
préconisait un usage modéré de l’ensemble de ces technologies.
Pour autant, soulignait le rapport, « les données disponibles montrent une très forte expansion
de l’usage des nouvelles technologies sans fil, notamment chez les très jeunes
enfants. » Ceux-ci possèdent leur propre téléphone mobile « de plus en plus précocement, même si
la première utilisation se situe rarement avant l’âge de sept ans. » En outre, « la multiplicité et la
diversité des lieux fréquentés (domicile, école, lieux publics, installations sportives et culturelles)
engendrent des situations d’expositions très variables. » Si bien que très tôt, et même « dès la phase
de développement in utero », la plupart sont exposés à des sources « placées à proximité et parfois
au contact du corps ».
Les Smartphones nuisent aux relations sociales des ados
Pr Rhon Melnique Université du Connecticut « Je pense que personne ne veut croire que ce qu’il possède dans la main comporte un risque potentiel de cancer, mais maintenant les preuves s’accumulent dans le sens qu’il existe un risque pour la santé »
14 janvier 2014 : Rania Ghosn « Effets des téléphones portables sur la physiologie humaine »
De nombreuses craintes sont aujourd’hui formulées quant à la nocivité des champs de radiofréquences émis par les téléphones portables sur la santé. Etant donné que la tête et la peau sont les organes les plus exposés, la circulation sanguine cérébrale, la microcirculation cutanée au niveau du visage et l’activité électrique du cerveau sont spécifiquement concernées.
Roger Santini : Qu’est ce qui fait que le cerveau des enfants est plus exposé aux ondes
des portables que celui des adultes ?
Enseignant-chercheur à l’INSA de Lyon, il informe depuis plus de 15 ans l’opinion publique sur la
réalité des effets des ondes sur le vivant. Auteur de « Notre Santé face aux Champs électriques et électromagnétiques »
Voici les 4 points essentiels que nous devrions tous connaître sur le « chaos électromagnétique » :
Les hyperfréquences (micro-ondes) ont une puissance de 900 megahertz (MHz) pour le système
GSM (et 800 mégahertz pour le système DCS). Ces ondes sont amplifiées et puisées en basse
fréquence. Ces hyperfréquences sont similaires à celles générées par un four domestique (four à
micro-ondes) qui émet en 2 450 MHz soit 2,45 GigaHertz.
7 février 2017 : Messaoudi Hafawa « Modélisation Électromagnétique du Phénomène
d’Interaction des Ondes GSM avec la Tête Humaine par la Méthode des Circuits Équivalents Généralisés »
En effet, lorsqu’une entité biologique est soumise à des ondes électromagnétiques, une interaction se
produit avec les charges électriques du tissu peut produire un effet biologique qui peut être nocif à la
santé. Bien que les effets à court terme d’une telle exposition soient assez bien connus, la
communauté scientifique n’est pas unanime en ce qui concerne les effets à long terme sur la santé.
12 novembre 2007 : Dr Jean PILETTE
Nuisances des antennes relais de téléphonie mobile sur les êtres vivants (plantes, animaux, hommes)
L'absorption de l'énergie d'une onde électromagnétique par le corps humain dépend de divers
paramètres affectant plus particulièrement la tranche d'âge des 20/29 ans.
Docteur Anne Boucquiau : Cancer « une interaction complexe entre hérédité et
environnement »
A noter qu’en raison de ses dimensions, le cerveau du jeune enfant sera pénétré plus en profondeur
que celui de l’adulte. Entre l’événement d’induction d’un cancer (lésion de l’appareil génétique ou de
l’ADN d’une cellule) et le moment du diagnostic d’un cancer cérébral (tumeur centimétrique), il peut
s’écouler jusqu’à près de 20 ans.
A ce jour, les études épidémiologiques (observation des populations) ont analysé la relation
entre l’usage du téléphone mobile et la fréquence des tumeurs suivantes :
équence de cancer du cerveau. Par contre, au-delà de 10 années d’usage, les utilisatrices présentaient un risque accru (x 2,5) de développer un neurinome du nerf acoustique (risque corrélé au nombre d’heures cumulées d’appel). Une autre étude de cohorte, la Cosmos Study, est actuellement en cours (suivi sur plus de 25 ans de 250.000 utilisateurs en Scandinavie, Grande-Bretagne et Pays- Bas). Cancer une interaction complexe entre hérédité et environnement par le Dr Anne Bouquiau
Entre 1999 et 2009 : Publication du bureau des statiques nationales au Royaume-Uni « augmentation de 50% des tumeurs des lobes frontaux et temporaux chez les enfants »
En 10 ans + 40% au Danemark, en Finlande - explosion du phénomène en France - 30/05/2012
Percée majeure dans le diagnostic de l’électro hypersensibilité
La récente étude EMF est une percée majeure
Gaëlle Courea : Effets sanitaires des champs électromagnétiques et tumeurs du système nerveux central
L'étude a inclus 596 cas et 1192 témoins. Aucune association n'a été observée entre l'exposition aux
CEM-EBF et les gliomes ou les méningiomes. Pour les neurinomes, le risque augmentait avec
l'exposition, non significativement, atteignant un rapport de cotes (RC)=2,7 [0,8-9,0] pour une
exposition moyenne sur la vie ≥ 0,2μT. Par ailleurs, l'usage régulier du TP (O/N) n'était pas associé
aux TC (RC=1,1 [0,8-1,4]). Cependant, une association significative était observée pour les gliomes
chez les plus grands utilisateurs pour une durée cumulée des appels ≥ 896 heures (RC=2,3 [1,4-3,8]).
Les risques étaient plus élevés pour les tumeurs temporales, l'utilisation professionnelle et
l'utilisation urbaine du téléphone.
Conclusion : Nos résultats vont dans le sens des études antérieures, montrant une association
entre les tumeurs cérébrales et l'utilisation importante du TP ; et l'absence d'association avec
l'exposition aux CEM-EBF. Cependant, le lien entre CEM-EBF et neurinomes reste à explorer, de
même que le suivi à plus long terme des effets du TP.
La Nasa sait depuis trente ans que les ondes électromagnétiques peuvent nuire à la santé :
Une étude scientifique vient de confirmer le lien entre usage intensif du téléphone portable et cancer
du cerveau. Mais cela fait longtemps que les organismes officiels connaissent les effets sur la santé
des ondes électromagnétiques. Un rapport commandé par la NASA l’avait établi dès…
1981. La Nasa sait depuis trente ans que les ondes électromagnétiques peuvent nuire à la santé.
Cancer environnement : A ce jour, pour les tumeurs cérébrales, les radiofréquences liées à l’utilisation du téléphone sans fil sont classées cancérogènes (groupe B) pour les risques de gliome.
Selon Alain Privat un des spécialistes
mondiaux du système nerveux central :
L’homme et l’utilisation du téléphone portable signifie qu’à terme, après plusieurs minutes ou plusieurs
heures par jours, il pourrait y avoir des modifications dans leur cerveau susceptible de déclencher des
maladies graves (…)
« Nous n’avons pas pu avoir les crédits publiques nécessaire pour continuer les recherche.
J’ai pu savoir de façon indirecte que les résultats que nous avions obtenus ne correspondaient
pas à ceux attendus, il n’y avait pas d’innocuité totale et cela dérangeait »
Pierre Aubineau ancien directeur du CNRS de Bordeaux :
Son étude ne sera jamais publiée. Il découvre que la BHE (barrière hémato encéphalique) qui protége
le cerveau des substances toxiques s’ouvre à l’exposition des ondes et que cela crée une réaction
inflammatoire qui se développe. Les ondes électromagnétiques produisent des oedèmes dans le
cerveau.
Conclusion : Nous postulons que si ces événements se produisent de façon répétée sur une longue
période dans le cerveau humain, cela pourrait présenter un risque pour la santé en raison de
l’accumulation potentielle de dommages et de substances dangereuses dans les tissus du cerveau.
Même si ce n’est pas montré chez l’homme, ils peuvent s’appliquer à l’espèce humaine.
Etude française COMOBIO de 1998 : Les champs électromagnétiques sont NOCIFS, c'est un fait ! Le Projet a été financé àmoitié par les industriels du secteur et le coordinateur de Comobio avec comme coordinateur Bernard Verret directeur de Comobio.
Les deux études du projet Comobio qui montraient les effets des ondes du téléphone portable n’aboutiront jamais !
Leif Salford : neurochirgien suedois
Il prévient des effets nocifs du portable depuis 1999. Ainsi que ses collègues, le neuropathologiste
Arne Brun, spécialiste de la maladie d'Alzheimer, et le physicien Bertil Persson, spécialiste en
résonance magnétique nucléaire, ils considèrent que leurs résultats doivent être pris très au sérieux.
« On trouve dans les cerveaux des rats soumis à 2h de téléphone de l’albumine répartie un peu
partout. on trouve de l’Albumine dans le cortex et ce n’est pas bon dans le cerveau, c’est la pire
conclusion. Cela peut altérer la mémoire, et réellement endommager les neurones). Les cellules
meurent dans le cerveau. Les effets sont tout à fait transposables à l’homme »
Lennart Hardell épidémiologiste est un des seuls à travailler depuis 1990 sur un panel de
7000 patients. « Doublement de tumeurs cérébrales de type gliome et neurinome acoustique par une
utilisation de 10 ans du même côté. Le DAS ne reflète pas la réalité, il est beaucoup trop haut il est fait
pour protéger l’industrie mais pas les êtres humains » Nous avons montré dans la première étude et
de manière constante que les personnes qui ont utilisées le téléphone portable avant 20 ans
ont 5X plus de risque de développer des tumeurs cérébrales »
Pr G.J Hyland : les effets potentiels des radiations de téléphonie mobile sur le
fonctionnement du cerveau
En conclusion, il est clair que si la question de savoir comment des effets nuisibles pour la santé
peuvent être provoqués par des influences de radiations de microondes pulsées à un niveau non
thermique, radiations actuellement utilisées dans les télécommunications GSM, est loin d’être résolue,
il existe des preuves circonstancielles considérables confortant cette possibilité. Ces preuves ne sont
pas encore prises en compte dans les lignes directrices de sécurité mais elles suggèrent au moins
deux voies via lesquelles la biocompatibilité pourrait être améliorée :
Note additionnelle à titre de preuve
Une augmentation statistiquement significative de l’incidence de tumeurs neuro-épithéliales (une
espèce rare de tumeur de la périphérie du cerveau où les radiations des GSM peuvent facilement
pénétrer) a été trouvée par Muscat et al. dans une étude faisant partie du Programme WTR [40] et
étendue à l’ensemble des USA. La latéralité de ces tumeurs correspond avec le côté où le téléphone
cellulaire est utilisé. Peut-être pas sans relation avec ce qui précède, le fait que l’exposition aux
radiations GSM (d’intensité typiquement rencontrée à la tête lorsqu’on utilise un téléphone cellulaire),
n’aboutit pas seulement à l’augmentation du nombre de ruptures déjà mentionnées de chaînons
d’ADN, mais aussi à la formation de micronoyaux [41]. Cette découverte a été confirmée plus tard par
le Programme WTR [40].
L'Office National de Protection Radiologique du Royaume Uni (National Radiological Protection
Board) a nommé à la fin des années 90 un groupe d’étude sur la sécurité des téléphones portables.
Le Pr William Stewart a présidé cette enquête dont le résultat fut la publication du rapport
« Stewart » sur les téléphones portables et la santé.
Les chercheurs ont recommandé « que les enfants de moins de huit ans ne devraient pas utiliser
les téléphones portables et ceux qui ont entre huit et quatorze ans ne devraient les employer
seulement quand c'est absolument nécessaire ». Leurs conseils ont été ignorés.
En janvier 2005 : Un nouveau rapport publié par le Pr William Stewart a non seulement répété son
avertissement concernant les enfants qui sont le plus en danger, mais il a également réclamé
un examen du procédé de planification pour des stations de base. Il a rapporté qu'il y aurait à ce sujet
une nouvelle preuve selon laquelle il pourrait y avoir des implications possibles sur la santé.
Un enfant sur quatre de sept à dix ans a un téléphone portable, soit une proportion qui a doublé depuis 2001
Février 2011 : Etude publiée par le Journal American Medical Association
« L’utilisation d'un téléphone portable pour une conversation pendant une heure stimule certaines
parties du cerveau les plus proches de l'antenne du téléphone ».
Selon le Dr Nora Volkow, auteure principale et directeur de l'Institut national américain sur l'abus des
drogues de Bethesda a déclaré :
« Actuellement, le meilleur moyen est d'utiliser des écouteurs ou haut-parleur, en particulier chez les
enfants et les adolescents parce que leur cerveau est beaucoup plus vulnérable »
En 2002 : Une étude publiée et réalisée par des chercheurs suédois de l’université de Lund,
dirigée par Leif G. Salford a informé avoir trouvé “une relation directe entre l’utilisation des
téléphones mobiles et les tumeurs du cerveau”.
Ces deux chercheurs étudient depuis plusieurs années les effets potentiels des effets des champs
électromagnétiques des radiofréquences
Une BHE intacte protège le cerveau des dégradations, alors qu'une BHE fonctionnant mal permet l'entrée dans le tissu cérébral de molécules hydrophiles qui seraient normalement exclues.
Les industriels de la téléphonie mobile, les politiciens ont la lourde responsabilité de soutenir l'exploration de ces risques possibles pour les usagers et la société.
En septembre 2013 : Etude publiée par des chercheurs de l’Université de Californie, Berkley dans la revue de Neurophysiologie clinique évaluée par des pairs.
Des recherches du monde entier réalisent depuis plus de 30 ans principalement des études
épidémiologiques, leur but étant de lier l’apparition de tumeurs du cerveau à l’utilisation de téléphone
portable et d’évaluer l’impact des champs électromagnétiques sur les êtres vivants.
Elles ne prennent en compte que l’exposition mais c’est dans la durée que les pathologies
apparaissent. Les industriels s’en servent pour conclure qu’à court terme il n’y a pas d’impact, nous
sommes dans la même problématique que l’amiante à l’époque et il a fallu plus de 20 ans pour en
conclure des effets dramatiques sur la santé de l’homme.
Depuis 30 ans un grand nombre d’études scientifiques ont montré un lien entre :
Dormir avec son Smartphone est devenu une source très fréquente de manque de sommeil
Mai 2013 : Étude publiée dans la revue Nature par le docteur Charles A. Czeisler, expert des
rouages du sommeil qui travaille à la Harvard Medical School et au Brigham and Women's Hospital
(Boston).
Cette étude alerte concernant l’impact négatif et croissant de l’utilisation nocturne des multiples
écrans dans notre environnement. Le Dr Czeisler s’intéresse aux effets physiologiques des lumières
artificielles qui frappent les rétines entre le crépuscule et l'aube. La lumière émise par l’écran du
Smartphone constitue un danger pour le sommeil.
Plusieurs paramètres du manque de sommeil
Cette génération est la plus difficile à informer et à sensibiliser du fait de leur « hyper connexion ». Au-delà d’une simple connexion, c’est leur identité propre qui est touchée : « si je ne suis pas connecté, je n’existe pas, je n’ai pas ma place ». Triste constat mais bien réel !
Il faut être conscient dans la manière de l’utiliser
L’effet « Smartphone » est très préoccupant voire « inquiétant » pour leur santé. Personne n’aurait
pu imaginer que les Smartphones puissent provoquer un problème de santé publique, comme
d’autres « bijoux » de la technologie, à moins d’apprendre à s’en servir en toute sécurité.
A l’issue d’études pourtant financées par les fabricants américains, le Pr Carlo a déclaré au cours
d’une émission retransmise à la télévision française « dire aujourd’hui que les téléphones
portables sont sans dangers pour la santé est irresponsable »
Paradoxe !
Steve Jobs, patron d’Apple, avait interdit le Smartphone à ses enfants.
Bill Gates, fondateur de Microsoft, ne voulait pas d’ordinateur chez lui.
Y avait-il quelque part un problème que ces « génies de l’informatique » avaient remarqué et
dont leurs clients ne s’étaient pas aperçus ?