« Ce ne sont pas les informations qui nous font défaut, ce qui nous manque, c'est le courage de comprendre ce que nous savons déjà et d'en tirer les conséquences» - Sven LINDQVIST (écrivain suédois)
La démarche initiée par « Family Ondes » est la voie de l’avenir si nous voulons protéger nos enfants des ondes artificielles, leur laisser un monde « durable » et une société responsable.
Pas de stress ni d’angoisse par rapport à ces ondes insidieuses, au contraire de la lucidité et respectez quelques règles de bon sens, adoptez une hygiène de vie électromagnétique. Même si vous ne voulez pas les croire c’est votre choix pas celui de vos enfants, mais cela ne vous engage en rien d’appliquer le principe de précaution.
Dès que l’on parle « d’ondes », les gens ont l’impression que nous touchons à leur liberté de connexion ; alors que c’est leur liberté qui est enjeu avec un impact dramatique sur la santé de nos enfants. Il n’est plus nécessaire de faire les septiques face à ce problème de santé publique, reconnu l’échelle mondiale par de très nombreux scientifiques internationaux, renseignez vous !
Nous sommes dans un monde qui va de plus en plus vite, ralentissons pour nos
enfants. Ils
n’ont rien demandé, mais nous les avons bel et bien sacrifiés pour notre petit confort
personnel. Qu’en
est-il vraiment : profit et pouvoir, contre une liberté qui se voit limitée progressivement pour
une soit
disant modernité et un confort de vie ?
Qu’en est-il de la santé de nos enfants et de leur espérance de vie ?
Quel sera l’impact à terme de la surconsommation des objets connectés sur nos enfants
?
S’informer et pratiquer le principe de précaution n’est en rien préjudiciable d’autant plus
quand cela
touche nos enfants.
Etre exposé à de faibles valeurs en continu est plus impactant que d'être
exposé ponctuellement à de
fortes valeurs.
Le pionnier en matière de recherche sur les effets des micro-ondes sur
la santé est le Pr Martin Pall
de l'Université d'Etat de Washington aux Etats-Unis : « Nous sommes
tous exposés, personne ne
peux le nier et donc tous électro sensitives, mais pas de
la même façon et pas au même degré en
fonction de nos exposions journalières ».
Depuis 1973, certains chercheurs décrivent et
démontrent les effets cumulatifs tel que le Dr Zaret, le
Dr Sadickova, le Dr Lai et Carino. Contrairement aux effets thermiques
qui disparaissent dès que l’on
n’est plus soumis aux stimuli, les perturbations dues aux effets
athermiques dépassent la capacité
d’'auto-réparation. Elles persistent même en l’absence de cause en
raison de la dégradation
organique et de ses conséquences, même à de très faibles valeurs
d’exposition.
Depuis 1998, le Pr Martin Pall s’est concentré sur les mécanismes des
maladies inflammatoires
chroniques et sur la façon dont divers facteurs de stress déclenchent
des cas de telles maladies. Le
mécanisme local impliqué dans de telles maladies, appelé cycle NO/ONOO,
a récemment été
confirmé dans un récent article de 57 pages sur l'insuffisance cardiaque
et, dans une moindre mesure,
dans un article récent sur l'hypertension pulmonaire.
On pense à
expliquer de nombreuses maladies
précédemment inexpliquées.
Selon Pr Rhon Melnique de
l’université du
Connecticut : « Je pense que personne ne veut croire que ce
qu’il possède dans la main
comporte un risque potentiel de cancer, mais maintenant les
preuves s’accumulent dans le sens
qu’il existe un risque pour la santé »
« Aujourd'hui en Europe, c’est 1 enfant sur 60 qui naît
autiste » Pr Belpomme
« Les foetus exposés aux ondes auraient 54 % de risques en plus
de présenter des troubles du
comportement au cours de leur vie » (étude danoise publiée
en 2008).
« Près d'un enfant de moins de 3 ans sur deux utilise des écrans
interactifs comme des tablettes ou
des Smartphones ». (AFPA)
« L’exposition aux ondes des téléphones et des technologies sans fil
altèrerait le développement
cérébral des foetus et des nouveau-nés. Elle pourrait
accroître le risque
d’hyperactivité, de troubles du
comportement à l’école et de problèmes
d’apprentissage ».
(ASSEF Jennifer Maherou)
« 2012 est une année charnière, plus d’un ado
sur deux était équipé d’un Smartphone.
Aujourd’hui, c’est quatre sur cinq » (Jean M. Twenge
psychologue américaine étudie depuis vingt-cinq
ans le comportement social et affectif des jeunes)
Nicholas
Kardaras, psychologue
de l'addiction chez les jeunes, parle de psychose
digitale "J'ai vu le fléau du numérique
affecter
les jeunes d'une manière qui ressemblait non seulement à la dépendance
clinique mais aussi à la
psychose". Il compare l’addiction du numérique à une drogue dure.
L'Académie américaine
de pédiatrie (AAP)
s'est penchée sur l'usage des appareils à écrans chez
les plus jeunes, et ne cache pas son inquiétude. « Enfants
et adolescents vivent "immergés" dans
un monde fait d'écrans en tout genre, ce qui n'est pas sans conséquence
sur leur développement. »
Ce qui vaut le coup pour la santé n’est pas inaccessible !
Les dirigeants d’Apple, Google ou Twitter ont interdit l’usage des technologies à leurs enfants par crainte des effets néfastes sur leur développement.
Notre environnement est actuellement sans cesse affecté par différents
types de pollutions initiées par
l’homme. Elles se multiplient en toute impunité doucement, discrètement
au fil des années.
Pour contrecarrer les études qui démontrent les effets nocifs des champs
électromagnétiques, voici ce
qui est cité « en raison de notre exposition chronique aux champs
électromagnétique dont les effets
bénéfiques n'ont jamais été démontrés ». En attendant, l'application du
principe de précaution reste de
vigueur.
Alors prouvez nous que ce n'est pas nocif !
Entre crainte et désir pour les objets connectés
Certaines études prédisent une transformation massive de la société par
les objets connectés (30 à
212 milliards d’objets connectés pourraient être vendus d’ici 2020),
alors que d’autres nuancent ces
prévisions de croissance fulgurante.
En effet, plus de 2/3 des français continuent à penser que les
objets connectés sont des
gadgets dont on peut se passer, qu’ils rendent plus
dépendants aux machines, et qu’ils renforcent
le repli sur soi (Etude IFOP, nov. 2014). Pourtant,
ils reconnaissent aussi qu’ils sont synonymes de
progrès et d’amélioration de la vie quotidienne.
Ainsi, les réactions des consommateurs face aux objets connectés
génèrent à la fois de
l’émerveillement et de la crainte (Bonnin, Goudey et
Bakpayev, 2014). Ces pensées contradictoires
compliquent le travail des professionnels du secteur qui ont du mal à
anticiper les réactions des
consommateurs sur ce marché.
Près d’un tiers des acheteurs d’objets connectés abandonnent
leur objet connecté dans les six
mois qui suivent l’achat (étude GfK, 20143).
L’ambivalence des consommateurs à l’égard des objets connectés pourrait
dissuader les acheteurs de
les utiliser régulièrement.
(utilisateur ou non) et la fonction qu’il donne à l’objet (utilitaire,
expérientielle, symbolique). Pour mieux
définir l’ambivalence et comprendre ses effets sur les comportements
d’achat et d’utilisation des
objets connectés, la pensée duale (Trope et Liberman, 2010) et la
théorie de la dissonance cognitive
peuvent être mobilisées (Festinger, 1957 ; Newby-Clark et al.,
2002).
La littérature distingue quatre catégories d’objets connectés (i.e.
reliés à Internet) s’adressant au
grand public :
Dans la littérature, les réactions à l’égard de ces objets connectés sont paradoxales. Elles se regroupent sur 4 dimensions :
Au nom du « vivre avec son temps », ils usent et abusent d’un «
soi-disant » mode de vie
hyper-connecté sans prendre conscience des effets de cette
addiction. Ce qui est étonnant c’est
qu’aucun parent en France ne s'oppose à la distribution de tablettes à
tous les élèves à partir de la
5ème. Utilisation avec wifi en classe au moins 1h ou plus par jour
!
Comprendre les risques
On sait que le cerveau des enfants n'est pas mature avant l'âge de 12/13
ans (définitivement à 20
ans). Dans le cerveau d'un enfant, la pénétration des ondes est
plus importante : il y a une
toxicité, avancée par le rapport "bio initiative".
Le centre de recherche et d'information indépendante sur les
rayonnements
électromagnétiques CRIIREM conseille de ne pas laisser les
téléphones et la box wifi à la portée des enfants de moins de 15
ans. En Angleterre, c'est 12 ans.
En France, il n'y a rien en termes de réglementation.
Astuces :
Installer un convertisseur USB vers réseau RJ45 pour qu'il puisse accéder à internet en filaire, et ça marche très bien, il suffit juste de le brancher !
Les écrans changent le cerveau ! Il ne rêve que de la
dernière tablette, du dernier Smartphone, du
dernier jeu vidéo, du dernier « tout » mais que se cache t-il derrière
tout cela ? Un écran, un terminal
de visualisation in fine, de consommation.
"Une personne qui a un cortex frontal rétréci et moins de
matière grise devient plus impulsive,
plus sujette aux addictions, plus agressive. Elle ne prend pas
de bonnes décisions. Ses
capacités aux enchaînements logiques sont altérées." Dr
Kardaras
Les scientifiques sont de plus en plus nombreux à s'intéresser à
l'addiction des plus jeunes aux
médias numériques. Est-ce que ces pratiques modifient le cerveau ?
"Absolument, répond sans
hésiter le Dr Kardaras interrogé par
"Envoyé spécial".
« Il y a une douzaine d'expériences d'imagerie cérébrale qui montrent
que le cortex frontal rétrécit si
vous passez trop de temps devant les écrans." Ce psychologue expert en
addictologie a écrit un livre
sur l'addiction et les enfants qui a réveillé les Etats-Unis. Il va
jusqu'à parler d'"héroïne
numérique" dans un de ses ouvrages.
Selon une enquête menée par L’AFPA ('Association Française de Pédiatrie
Ambulatoire)
Près d'un enfant de moins de 3 ans sur deux utilise des écrans
interactifs comme des tablettes ou des Smartphones
Trois effets sur le cerveau
Dès que nous sommes soumis à de la technologie sans fil liée à nos objets connectés, antenne relais… l’effet micro-ondes va tout simplement accélérer nos molécules d’eau dans le corps.
L'eau représente en moyenne 60% du poids du corps d'un adulte, mais ce pourcentage varie selon l'âge. Chez un nourrisson, cette proportion atteint les 75%, alors qu'elle est réduite à environ 50% chez un senior.
Les enfants sont donc bien plus sensibles que les adultes.
Ne soyez donc plus étonnée si lors de conversation téléphonique, votre
oreille ou votre main a la
sensation de chauffer, ce n’est pas une sensation mais bien réel.
Les hyperfréquences peuvent provoquer de graves brûlures superficielles
et internes, Parmi les
fréquences les plus dangereuses, se trouvent celles de la vibration des
molécules d’eau (65% de la
masse corporelle) vers 2450 MHz.
1991 : le Dr Hans Ulrich Hertel a démontré que les aliments cuits au four à micro-ondes présentent plus de risques pour la santé que la nourriture cuite traditionnellement. Selon les résultats de cette étude, les gens qui ont mangé des aliments préparés au micro-ondes ont subi une perte d’hémoglobines et de lymphocytes.
12 impacts d’un micro ondes sur notre corps
Les jeux vidéo, les ordinateurs, les téléphones cellulaires et les
tablettes sont tous des « drogues
numériques » et de plus en plus de preuves le
confirment.
Des études récentes ont montré que l'électronique active les circuits de
plaisir dans le développement
cérébral. La quantité de dopamine dans le cerveau
double (la nourriture et le sexe ont le même
effet) tandis que la quantité de matière grise diminue,
compromettant le cortex frontal (le centre
de décision du cerveau).
- Retards dans le développement neurologique et l'intelligence
verbale.
Une douzaine d’expériences d’imageries cérébrales ont été réalisées et
ont toutes constatées que le
cortex frontal rétrécie si on passe trop de temps sur un
écran. Depuis 5 ans, les études se
multiplient de plus en plus précises indiquant l’impact des machines
numériques sur le cerveau. En
Chine l’addiction à Internet est classée « comme problème de santé
public ».
France TV écrans et addictions numériques
Les écrans, les jeux sur écrans… actives un système de récompense
et libère un puissant
stimulant naturel : LA DOPAMINE, ce que les natifs du
numérique recherches en permanence quitte à
se perdre eux même. Chez les jeunes et les adolescents, les
régions cérébrales qui sont
impliquées dans la régulation des émotions et du comportement ne
sont pas encore à
maturité. Ce qui fait qu’ils sont bien plus vulnérables
dans une situation de frustration à avoir des
conduites très excessives et inappropriées à la situation, crises de
colères, pleures voire des
conduites hystériques, agressivité, conflits répétés avec les amis et la
famille.
En mars 2018 L'OMS classe l'addiction aux jeux vidéo comme
maladie. Alors que l'Organisation
mondiale de la santé a émis la volonté d'inscrire la dépendance aux jeux
vidéo sur la liste des
maladies, les grandes fédérations d'éditeurs de jeux vidéo dans
le monde ont appelé l'OMS à
revenir sur sa décision.
L’un des premiers centres entièrement dédié à la Cyberdépendance
à Bruxelles
Crée en janvier 2017, le Centre Hospitalier
Universitaire Brugmann, hôpital public belge situé
à Bruxelles ouvre un service pour prendre en charge les
Cyberdépendances.
Aide pour
Internet (cyberdépendance)
Une famille qui s'inquiète de l'attitude de leur adolescent(e) en lien
avec une connexion importante sur
Internet (jeux de rôles, WOW, Counter-Strike, chats,...) ou une personne
chez qui la pratique vidéo
ludique ou numérique devient envahissante peut rencontrer un(e)
psychologue et prendre rendezvous pour :
Le piège
des écrans : France TV info
L’écran
entre la mère et l’enfant : Un entretien avec Pascale Gustin,
psychologue clinicienne et psychanalyste
UNAF
(Union Nationale des associations familiales) : Protéger les enfants
des écrans
Addiction aux jeux
vidéo
La fatigue oculaire liée aux ordinateurs n’engendre pas de pathologie. Comme le souligne l’ASAV ('Association nationale pour l'amélioration de la vue) « les heures passées devant un écran, si elles entraînent à la longue une fatigue visuelle, ne génèrent pas de troubles visuels. En revanche, elles constituent un excellent révélateur de défauts jusque-là passés inaperçus. »
Nicholas Kardaras psychothérapeute
américain alerte les parents sur l’usage
intensif des Smartphones, des écrans et l’exposition à la réalité
virtuelle seraient aussi nocifs que les
drogues dures.
Des recherches récentes prouvent que les Smartphones agissent sur le
cerveau de la même façon
que la cocaïne. Surtout pour les enfants, exposés de plus en plus jeunes
aux Smartphones et aux
écrans, qui s’imposent aussi comme support éducatif.
Le psychothérapeute américain Nicholas Kardaras, qui dirige un centre de
soins pour les enfants
devenus « drogués » à la réalité virtuelle, vient de s’exprimer sur le
sujet dans le New York Post. En
parlant d’expériences vécues…
Smartphone : drogue
dure pour nos enfants
Les enfants n’arrivent plus à décrocher, toujours plus
performants, plus immersifs, plus
compétitifs, les jeux vidéos auxquels jouent nos enfants les rendent
véritablement dépendants.
Un jeu addictif le sera du fait de sa qualité, au même titre qu'une
série excellente, par exemple.
Il existe différents éléments addictogènes, qui sont souvent liés à la
dimension infinie du contenu
proposé au joueur.
C'est particulièrement visible dans les univers persistants que l'on
croise le plus souvent dans les
MMORPG (Massively Multiplayer Online Role-Play Game).
Dans de tels univers, il arrive que les joueurs éprouvent une réelle
difficulté à se déconnecter et
développent une addiction au jeu et une véritable dépendance.
Un autre élément addictogène que l’on peut également souligner et
farming. Concrètement, il s'agit de
passer du temps pour faire monter en puissance son avatar au travers de
quêtes le plus généralement
assez peu intéressantes. La narration est régulièrement très pauvre et,
à mes yeux, le farming pourrait
être décrit comme une forme de boulimie digitale. Il constitue un moyen
de remplir un vide, à l'image
de certains items à collectionner comme les pièces d'or, le matériel ou
les ressources dont l'unique
utilité est de permettre la croissance et la montée en puissance de
l'avatar.
Ce que cela illustre, c'est bien que les éléments addictogènes ne sont
pas systématiquement liés à la
qualité d'un jeu. Cela soulève la question de la responsabilité
quasi-citoyenne de certains concepteurs
de jeux dont le but est avant tout de capter cette tendance.
Récemment, le FPS (First Person Shooter) Call of Duty avait
instauré un classement en ligne,
réinitialisé toutes les deux semaines. Ce faisant, les joueurs étaient
contraints de rejouer pour
conserver leur place dans ce classement, particulièrement pour les
quelques-uns ayant atteint le top
5. D'une certaine manière, les concepteurs et le jeu poussaient les
joueurs à continuer la partie
indéfiniment.
Les jeux qui présentent le plus de cas d'addiction sont le plus souvent
en ligne. Dans l'écrasante
majorité des cas, il s'agit de MMORPG, tels que World of Warcraft,
Dofus, League of Legends. Ils
cherchent tous à pousser le joueur à entrer en compétition avec les
autres et à devenir le meilleur. Au
fond, cette pratique du jeu, qui vire à l'addiction, est souvent
révélatrice de problématiques beaucoup
plus lourdes. Je crois que le online propose clairement une dimension
addictogène du fait de cette
compétition. La plupart des jeux fonctionnent désormais de cette manière
et pour certains ils ne
proposent d'ailleurs plus du tout de mode solo. On peut penser que c'est
la caisse de résonance de
notre société qui, elle aussi, est hyper-compétitive.
Qu'est-ce que le portrait d’un joueur accro ? Quels sont les
profils les plus fragiles ?
Les jeunes que je rencontre ne sont pas des jeunes comme les autres. La
grande majorité d'entre eux
sont des garçons, âgés de 15 à 30 ans.
Il m'est également arrivé de voir des gens plus âgés. Souvent, ils sont
diagnostiqués enfants
précoces, avec un haut potentiel intellectuel. La plupart du temps, ils
ont été élevés avec un véritable
culte de la compétition et de la réussite à tout prix.
Au final, il suffit d'un élément de vie, d'une séparation de tout type
pour que cela flambe. Une chute du
niveau scolaire, par exemple, peut déclencher le processus. A partir du
moment où ces éléments de
vie sont vécus comme une blessure narcissique, ces jeunes s'effondrent.
Le jeu vidéo devient alors
une forme d'anti-dépresseur.
Le profil moyen du joueur de jeu vidéo aujourd'hui n'est pas
nécessairement celui d'un enfant
ou jeune adolescent : de plus en plus d'adultes jouent. Sont-ils
susceptibles d'être touchés par
l'addiction également ? Faut-il y voir une tentative d'échapper à un
monde devenu trop
complexe ?
Trop complexe, ou trop compétitif ? C'est là où se situe le gros souci :
notre monde est devenu très
compétitif et mise énormément sur la réussite et la performance.
Les adultes sont effectivement touchés par l'addiction aux jeux vidéo.
J'ai déjà reçu des gens en
grande détresse, souvent au chômage. Cette détresse était parfois due à
un accident du travail,
parfois au fait d'être hors-système... Cela corrobore d'ailleurs
d'autres études qui témoignent de la
tendance addictive des joueurs de plus de 65 ans. Ces personnes ne sont
pas (ou plus) à l'image de
ce que souhaite la société. On entre donc dans une situation de tiraille
de l'idéal, laquelle peut
engendrer pour beaucoup des addictions, notamment aux jeux vidéo. C'est
une façon d'échapper à
leurs échecs, à leur corps vieillissant. Ces jeux sont des jeux où
l'enjeu l'emporte sur le plaisir de
jouer.
Ce même enfant, une fois tombé dans l'addiction aux jeux vidéo,
entretient et nourrit des
comportements susceptibles de le couper davantage de ses différents
cercles, qu'ils soient
familiaux, scolaires ou amicaux. Dans quelle mesure l'addiction
constitue-t-elle un cercle
vicieux de la solitude ? Qui du jeu ou de la solitude entraîne le
plus l'autre, dans la majorité des
cas ?
A mon sens, la pratique des jeux vidéo de manière intense ou additive
provoque une solitude réelle.
On retrouve souvent chez les personnes accro
des problématiques de désocialisation. Face à une situation où l'on
n'arrive plus à être à la hauteur de ce que nous propose la réalité,
certains
d'entre nous décident d'éviter le réel. D'une certaine manière, ils
s'isolent dans une pseudo-solitude,
puisqu'elle permet un ersatz de socialisation au travers du virtuel. La
réalité est différente : ces gens
sont seuls à leur bureau. S'enclenche alors un cercle vicieux, propre à
toute addiction, où le joueur se
pense plus fort que le jeu quand ce n'est pas le cas.
Cela existe, on n’arrête pas le progrès…
Comment peut-on être aussi ignorant des effets sur la santé des enfants
au nom de l’argent ! C’est à la fois
révoltant et très triste pour ces enfants.
Ce « magnifique cartable connecté »
vendu comme un outil révolutionnaire pour les enfants hospitalisés, est
une mini antenne relais royalement
proposé aux enfants malades pour se connecter avec leur classe. Ils vont
rendre les enfants malades encore plus
qu'ils le sont.
Champs électromagnétiques : décret n°2016-1074 applicable au 1er
janvier 2017
Concernant les effets sur le long terme le CIRC (Centre international de
recherche sur le cancer, créé
par l’OMS) a mis en évidence un risque accru de leucémie infantile lors
de l’exposition prolongée à
des champs électromagnétiques de basse fréquence (tels que des lignes
électriques à haute
tension).
Impact chez les jeûnes constaté depuis 2012, nous sommes en 2018
rien ne bouge !
« Ce ne sont pas les informations qui nous font défaut, ce qui nous
manque, c'est le courage de
comprendre ce que nous savons déjà et d'en tirer les conséquences
» - Sven LINDQVIST (écrivain
suédois).
ETUDES
: Preuves flagrantes que l'utilisation du téléphone portable (GSM et
DECT) augmente l'incidence des cancers (Mai 2011)
Action
des champs électromagnétiques sur la santé de 1995 à 2016
Mai 2012 : Les chiffres qui viennent d'être publiés par le Bureau des
statistiques nationales
au Royaume-Uni indiquent une augmentation
de 50% des tumeurs des lobes frontaux et
temporaux chez les enfants entre 1999 et 2009.
Etude danoise sur le
GSM : largement biaisée, donc dangereuse dans ses conclusions (Oct.
2011)
Augmentation
de 40% des tumeurs cérébrales au Danemark de 2001 à 2010 (Déc.
2011)
Appel
pour la protection des enfants vis à vis des risques de la
téléphonie mobile (Nov. 2011)
Ce
dont devraient dorénavant tenir compte tous les utilisateurs de
téléphone portable (Fév. 2011)
Site
de la conférence : Childhood Cancer 2012 International (24-26 avril
2012) (en anglais)
Mécanismes
possibles, par Dariusz Leszczynski, Research Professor, STUK -
Radiation and Nuclear
Safety Authority, Helsinki (en anglais)
L’autisme est un trouble envahissant du développement
qui affecte les fonctions cérébrales. Il
n'est plus considéré comme une affection psychologique ni comme une
maladie psychiatrique.
Les écrans altèrent la circulation des fluides du cerveau
:
Les symptômes diminuent ou disparaissent avec l’éloignement des
sources ou l’arrêt total de
l’utilisation des écrans.
Selon le Dr Anne Lise Ducanda médecin de PMI en ile de
France : «J'ai vu des enfants qui ont été
diagnostiqués autistes à l'hôpital, apparemment à tort puisqu'ils ont
retrouvé un comportement
“normal” après avoir été sevrés d'écrans pendant plusieurs semaines.»
Elle met tout en oeuvre pour
alerter le plus grand nombre et les pouvoirs publics.
Elle mise sur le lancement de nouvelles études scientifiques pour
explorer la piste d'un lien entre
l'augmentation du nombre d'enfants diagnostiqués TSA (troubles du
spectre autistique) et
l'omniprésence des écrans.
La Fondation pour l'enfance et un service de
pédopsychiatrie francilien l’ont d’ailleurs sollicitée pour
réfléchir à des projets de recherche.
Les professionnels de la petite enfance qui émettent les mêmes craintes,
désormais organisés en
réseau, s'apprêtent à écrire au nouveau président de la République pour
réclamer une campagne de
prévention de grande ampleur. Aucune campagne à l’horizon !
Selon Michel Desmurget chercheur au CNRS : « Cette
comparaison avec les troubles
autistiques «prête à confusion». Mais sur le fond, ce spécialiste des
neurosciences cognitives partage
«à 100%» cette analyse.
« L'image positive des usages des outils numériques pour les
tout-petits a fait des ravages, dit-il. En
France, l'Académie des sciences n'est toujours pas revenue sur son
avis de 2013 selon lequel les
tablettes tactiles pouvaient être utiles au développement
sensi-moteur du jeune enfant, s'indigne-t-il.
Pourtant, les études scientifiques sérieuses démontrent l'effet
néfaste de ces outils sur le sommeil, les
apprentissages, l'alimentation, la concentration…»
Catherine Barthélémy pédopsychiatre, neuroscientifique à
l’INSERM
« La prévalence a fortement augmenté à cause de plusieurs facteurs.
Les moyens d’investigation sont
plus fins : le trouble est détecté plus fréquemment chez les très
jeunes enfants ou quand il est noyé
dans d'autres troubles. Mais aussi, du fait de la définition de
l’autisme, le spectre de la maladie a été
élargi : il y a des formes complètes et des formes associées, des
autismes simples et des autismes
syndromiques. »
« L’autisme est lié à une combinaison de facteurs.
Il y a un terrain de vulnérabilité
neurobiologique, probablement congénitale, mais par forcément
héritée, associé à des facteurs
environnementaux qui vont coïncider pour qu’il y ait un dérèglement
du programme de développement
des neurones, de ses connexions et de ses migrations. »
Gardienne de notre cerveau, la BHE est un tissu cérébral qui joue le rôle
de « filtre » protégeant notre
cerveau. Elle empêche l’entrée des substances nocives véhiculée dans le
sang (toxines, hormones,
agents mutagènes…) ainsi que les médicaments ; tout en laissant passer
les nutriments nécessaires
à son bon fonctionnement.
Elle est située entre la circulation sanguine et le système nerveux
central. Telle une membrane hyper
sélective, d’un côté elle va transmettre ce qui est nécessaire au
cerveau et de l’autre côté elle
va éliminer les déchets.
Chez
les nouveau-nés et les jeunes la barrière hémato-encéphalique n'est
pas aussi efficace que chez l'adulte
Selon le Pr
Pierre Aubineau (ancien directeur du CNRS de
bordeaux)
Le téléphone portable crée des minis oedèmes ainsi qu’une
inflammation des méninges.
« Nous avons cherché à savoir si les portables et les micro-ondes
pouvaient rendre perméable les vaisseaux
sanguins du cerveau. »
Ca veut dire quoi rendre perméable ?
Cela permet à des molécules qui sont normalement présentes dans le sang
et qui ne passent pas dans l’espace
extravasculaire de passer dans cet espace.
« Pour cela nous avons procédé en prenant des rats confinés dans un
tube et les avons exposés à un niveau
d’émissions équivalent au notre. Puis nous leur avons injecté un
traceur fluorescent qui est une grosse molécule
et qui normalement ne passe pas dans les vaisseaux. Si le vaisseau
s’ouvre la molécule va alors passer entre 2
cellules de la couche cellulaire. Puis nous les avons soumis à un
choc hyper osmotique »
C’est quoi un choc hyper osmotique ?
C’est une brusque modification des pressions des deux côtés d'une
membrane qui ne peut mécaniquement pas
résister à ce changement brutal de différence de pressions.
« Nous avons observé une extra vascularisation de ces protéines qui
sont sorties des vaisseaux sanguins, il en
est de même pour les méninges »
En conclusion
Il s’agit d’effets pathogènes, puisqu’autour de ces zones de pénétration
de protéines, il y a eu formation de minis
oedèmes qui se créent ainsi qu’une inflammation des méninges.
Selon Gilles Dixaut de l’AFSSE (Agence Française de
Sécurité sanitaire Environnementale) :
« le téléphone portable pourrait explique des migraines »
L'étude bio initiative a regroupé plus de 1800 articles
internationaux rédigés par des experts
unanimes. Dans ce gros pavé, les chercheurs détaillent les syndromes
liés à l'exposition aux ondes,
ainsi que les risques encourus. Principal danger :
Pour les auteurs du rapport, les ondes provoqueraient des perturbations
biologiques. De
plus, on sait
que le cerveau des enfants n'est pas mature avant l'âge de 12/13 ans
(définitivement à 20 ans)
Dans le cerveau d'un enfant, la pénétration des ondes est plus
importante : il y a une toxicité,
avancée par le rapport "bio initiative". Comme toutes études
épidémiologiques, nous aurons le recul à
moyen/long terme trop tard commme la pluopart des études dans tout
secteur confondu. Le cancer
arrive en tête de liste.
Le CRIIREM (Centre de recherche et d’information indépendante sur les
rayonnements
électromagnétiques conseille de ne pas laisser les
téléphones et la box wifi à la portée des
enfants de moins de 15 ans. En Angleterre, c'est 12 ans.
Février 2012 : Journal Institut Curie
Les champs électromagnétiques de radiofréquences seraient responsables
d’un risque accru de
gliome, un type de cancer du cerveau. L’étude réalisée montre un risque
de gliome accru de 40% au
delà de 30 min d’utilisation de portable pendant 10
ans.
30 min d’exposition ! Ce n’est rien par rapport à l’exposition
du wifi d’une box en permanence
dans nos habitations, de la 4G du Smartphone sans cesse activé pour
être connecté, de
l’utilisation de la tablette…
Pétition auprès de l’OMS : IARC, WHO : faire passer la
classification des fréquences radiatives
radio de 2b vers 1
La pétition demande à l'OMS d'arrêter de
sous-estimer les effets sur la santé et les risques de cancer venant
des radiations des
fréquences radio (RF) : S'il vous plaît faites passer les
champs électromagnétiques (EMFs) de la
classification 2b « cancérigène
humain possible » vers la classe 1, « cancérigène pour les humains
», maintenant !
Il y a suffisamment de cancer, de maladie et de mort autour du monde
dus à ces émissions venant s'ajouter à une surenchère
du corps de la science prouvant le cancer (cette carcinogénicité)
parmi d'autres effets très sérieux (préjudiciables) sur la santé,
tout cela à travers cette propagation ubiquitaire mais mortelle des
fréquences radio radiatives, pour garantir cette élévation (de
niveau) dans la classification ! Arrêtez de jouer avec la santé de
la planète et la vie ! Faites évoluer cette radiation vers la classe
1 maintenant !
« En raison de la relation avec la survie la classification de
l'IARC est renforcée et les fréquences radio radiatives
(irradiantes)
devraient être considérées comme un carcinogène humain nécessitant
une révision urgente des guides (études) sur les
expositions courantes ».
Dr. Lennart Hardell, cancérologue suédois (oncologue), MD PhD,
Docteur en sciences physiques, Orebro University Hospital,
Orebro, Suède, et www.mdpi.com/1660-4601/11/10/10790/html Colonne
de droite : créée par Liz B, Etats Unis
d'Amérique – pour être remis à IARC et WHO (autorités de
régulation)
Le bombardement passif des ondes c’est comme
le tabagisme passif
L’exposition aux ondes WIFI des consoles touchent majoritairement
les enfants
Ne croyez pas être à l’abri de ces ondes si vous vous tenez dans la
même pièce que le joueur
L'Anses déclare que les ondes électromagnétiques émises par les téléphones portables, les tablettes tactiles ou les jouets connectés ont "un effet possible sur les fonctions cognitives (mémoire, fonctions exécutives, attention) des enfants".
La tablette tactile est devenue un objet connecté incontournable avec les
consoles de jeux et le
Smartphone. Elle a submergée le marché à partir de 3/4 ans en ventant de
soit disant « mérites
éducatifs ». Toute occasion est bonne pour en offrir, anniversaire,
noël…Les campagnes de publicité
ont atteint leur objectif une fois de plus sans aucune préconisation
pour la santé des enfants.
Impact de ces campagnes sur les parents
Ce cadeau est vu par les parents et promu dans les publicités comme un
outil éducatif.
Dans les années 80, tous les jeux pour enfants étaient à pile ou à
batterie, sans aucune émission
d’ondes wifi contrairement à aujourd’hui ou tout est connecté en
wifi.
Interrogations sur les tablettes
Ces conseils de modération, valables pour les adultes, ciblent
particulièrement les enfants qui sont
plus sensibles aux ondes que leurs aînés pour des raisons
physiologiques. Au niveau du cerveau en
particulier, certaines zones encore en transformation sont plus
sensibles aux ondes.
Les moins de 6 ans sont exposés bien trop tôt (même in utero) à
cause du développement sans limite
des technologies sans fil (tablettes, jouets connectés,
wifi...).
Selon l’ANSES : "Nous avons des interrogations sur les
tablettes", d'où leurs recommandations
d'appliquer à tous les dispositifs émetteurs d'ondes "les mêmes
obligations réglementaires" que pour
les téléphones.
Dans notre environnement quotidien, nous utilisons sans le savoir des équipements qui fonctionnent avec des ondes artificielles de hautes ou basses fréquences. Certains sont de simples émetteurs, d’autres des récepteurs et d’autres sont émetteurs/récepteurs.
Une lampe de chevet, un radio réveil, un appareil électrique
expose mon enfant à un champ
électromagnétique basse fréquence ? Vrai
Appareils éteints : émission d’un champ électrique (réseau 50 Hz basse
fréquence)
Appareils allumés : émission d’un champ électrique et magnétique (réseau
50Hz basse fréquence)
Une Box, une TV connecté, une base DECT, un baby phone expose
mon enfant à de la
radiofréquence ? Vrai
Tous ces appareils émettent des hautes fréquences
(radiofréquence ou effet micro ondes).
Le combiné d’une base DECT (téléphone sans fil) émet des
ondes uniquement pendant les communications ? Vrai
La base d’un téléphone DECT émet des hautes fréquences
? Vrai
Pendant et hors communication
Une base ECO DECT émet des hautes fréquences ? Vrai
Uniquement pendant les communications, et hors communication si la
fonction ECO n’est pas activée
par défaut.
Un poste de radio, une antenne TV émet de la radiofréquence
? Faux
Ce sont des récepteurs
Un four à micro-ondes fonctionne en radiofréquences ?
Vrai
Il chauffe les aliments par effet thermique des radios fréquences.
Eviter de les positionner au niveau
de la tête ou du ventre.
Les paraboles et les antennes râteau des toits émettent des
hautes fréquences ? Faux
Elles n’émettent aucune onde radiofréquence
Les plaques à induction émettent des hautes fréquences
? Faux
Elles émettent un champ électromagnétique 50Hz.
Le WIMAX émet comme le WIFI ? Faux
Cette technologie permet de fournir un accès à internet par ondes radio
avec une portée et un débit
bien supérieur au WIFI.
Le système Bluetooth émet des hautes fréquences ? Vrai
Technologie développée pour remplacer des câbles.
Mon Smartphone en voiture n’émet pas plus d’ondes qu’à
l’extérieur ? Faux
Une voiture va jouer le rôle d’une cage de Faraday, l’émission sera donc
bien plus élevée lors
d’appels ainsi qu’en activant la base de données.
Le plus simple est de mettre le Smartphone en mode avion.
Un GPS émet des ondes hautes fréquences ? Faux
Un GPS est récepteur, il n’émet pas d’ondes.
Emetteurs/récepteurs, ils émettent des hautes fréquences sur une bande autour de 446MHz
Emetteurs/récepteurs, ils émettent des hautes fréquences afin d’établir une liaison avec l’antenne relais la plus proche.
La technologie WIFI émet des hautes fréquences ? Vrai
Elle permet de créer des accès Internet, des réseaux informatiques sans
fils…
Est-ce qu’un four à micro ondes émet des hautes fréquences
? Vrai
Emetteurs/récepteurs, ils émettent des hautes fréquences afin d’établir
une liaison avec l’antenne
relais la plus proche.
La santé de nos enfants est-elle impactée si l’on habite proche
d’une antenne relais ? Vrai
C’est l’exposition et la durée qui créent une problématique.
La puissance d’une antenne relais de téléphone mobile varie en fonction
de sa puissance et de la
zone qu’elle couvre. Des dizaines de mètres en ville pour des kilomètres
en zone rurale.
Les périodes d’émission les plus fortes sont entre 17h et 23h, heure à
laquelle les jeunes rentrent de l’école.
Attention aux types d’antenne relais installés dans les clochés des
villages !
Fréquences : 900 MHz, 1800 MHz, 2100 MHz
Les émetteurs TV sont-ils plus puissants que les antennes relais
? Vrai
200/300m de hauteur
Puissance d’émission : plusieurs centaine de milliers de Watts
Distance d’émission : plusieurs dizaines de Km
Les émetteurs radio sont-ils plus puissants que les antennes
relais TV ? Vrai
Distance d’émission : quelques dizaines de Km
La première étude sérieuse a été réalisée entre 1960 et 1985 (L’étude de Feychiting & Alhbom) Il semble désormais établi qu'il existe bien un lien entre leucémie chez l'enfant et centrales nucléaires et lignes à haute tension. On ne pourra plus dire « je ne sais pas !
Une étude scientifique française vient de révéler que le risque
pour les enfants de développer
une leucémie est accru autour des centrales nucléaires et des lignes
à haute tension. Ces deux
zones sont donc à fuir pour protéger leur santé.
Des chercheurs de l’Inserm du CRESS (Centre de
Recherche Epidémiologie et Statistique Paris
Sorbonne Cité, Inserm – Université Paris Descartes – Université
Paris 13 – Université Paris Diderot –
Inra) ont étudié le risque de leucémie aiguë chez l’enfant à
proximité des routes à fort trafic.
Pour aborder cette question, l’équipe de recherche a pris en compte la
totalité des 2 760 cas de
leucémie diagnostiqués chez des enfants de moins de 15 ans en France
métropolitaine sur la période
2002-2007.
Les résultats montrent que la fréquence de nouveaux cas de leucémie de
type myéloblastique (418
cas sur les 2760 cas de leucémie) serait plus élevée de 30% chez
les enfants dont la résidence se
situe à moins de 150 m des routes à grande circulation et qui ont une
longueur cumulée dans ce
rayon dépassant 260m.
En revanche, cette association n’est pas observée pour les leucémies les
plus fréquentes de type
lymphoblastique (2275 cas). Les chercheurs ont particulièrement étudié
le cas de l’île-de-France
grâce aux données modélisées par Airparif, chargé de la surveillance de
la qualité de l’air francilien.
208 députés de la chambre basse du Parlement britannique ont
signé cette proposition de loi
qui « reconnait que la leucémie infantile est la plus grande cause de
mortalité chez les enfants et
qu’elle est en augmentation (…) ; note que la conclusion de ce rapport
[il s’agit du rapport Draper, ndr]
constate « Il y a une association entre la leucémie infantile et la
proximité de l’adresse de résidence à
la naissance avec les lignes hautes tensions de transport de
l’électricité, et le risque apparent s’étend
pour des distances plus grandes que ne le laissait attendre les
précédentes études » ; reconnait que
la proportion de la population du RU désormais sujette à un
risque accru de leucémie infantile du à
leur proximité avec de telle lignes est 10 fois plus importantes que les
démonstrations antérieures ;
approuve l’appel de [l’ONG caritative] Children with Leukaemia
d’introduire un moratoire immédiat
sur la construction d’écoles et d’habitations à proximité de ces
lignes (…) ; et appelle le
gouvernement à prendre sans tarder les mesures contribuant à
protéger la santé des enfants. »
A - L'étude britannique (publication New scientist) sur les
lignes haute tension et les cas de leucémie
chez l'enfant publiée en juin 2005 par des chercheurs de l'université
d'Oxford a porté sur plus de
29.000 enfants souffrant de cancer, dont 9.700 leucémie. Cette étude a
montré que le risque de
leucémie augmente de 69% pour les enfants dont le domicile se trouvait à
moins de 200 mètres des
lignes à haute tension au moment de leur naissance et de 23% pour ceux
domiciliés à une distance
située entre 200 et 599 mètres, par rapport à ceux nés à plus de 600
mètres, a rappelé Gerald
Drapper, principal auteur de ces travaux.
En 2000, d'autres travaux avaient montré que le risque de leucémie
augmente à partir d'une
exposition de 0,2 microtesla et est multiplié par deux pour un niveau
supérieur à 0,4 microtesla, sans
que le rapport de cause à effet soit expliqué.
Le rapport de l'INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche
Médicale Française) en 1993
sur les effets des champs électromagnétiques d'extrêmement basses
fréquences ainsi que d'autres
travaux américains, indiquent également une augmentation du risque de
leucémie chez l'enfant.
Résumé des modifications biologiques induites par une exposition
aux effets des lignes à
haute tension au Québec en 1989
- Les cibles biologiques des rayonnements des lignes haute tension,
identifiées ci-dessus, sont
identiques à celles des téléphones mobiles, des ordinateurs, des
antennes relais, telles qu’elles ont
été mises en évidence par Tecnolab, comme par de multiples travaux
expérimentaux internationaux.
La mise en oeuvre de la technologie CMO, connue par ailleurs pour ses
effets de compensation des
champs E.M., démontrés au niveau des concentrations calciques intra
cellulaires, ou du
fonctionnement hormonal et immunitaire, devient ainsi également
pertinente pour cette application aux
effets biologiques des lignes haute, moyenne et basse tension.
Distances limites indicatives :
Ordre de grandeur des distances limites préconisées, en fonction des
types de ligne HT.
(valeur limite de 0,4 microtesla)
230 V (la ligne alimentant votre habitation) : quelques mètres (éviter
de rester sous la ligne)
20 000 V (pylône béton 3 fil) : 30 m
63 000 V : 80 m
225 000 : 100 m
400 000 Volts : 150 m
Pour les lignes 63 000, 225 000 et 400 000 Volts (pylônes à structure
métallique), la tension est
indiquée sur une plaque fixée sur chaque pylône.
Ces valeurs ne sont données qu'à titre indicatif, le champ émis par la
ligne dépend aussi et surtout de
sa charge, c'est à dire l'intensité qui la traverse. Cette intensité est
variable, en fonction de la
demande.
L’étude de Feychiting & Alhbom de l’institut de Karolinska de Stockholm
concerne une population de
436 000 personnes vivant à moins de 300m d’une ligne de haute tension
entre 1960 et 1985.
Cette étude conclue à une augmentation proportionnelle du risque
de leucémie chez les
enfants de moins de 15 ans suivant l’intensité du champs auquel ils
sont soumis :
Pour une exposition > 1mG le risque relatif est 2 fois plus
important
Pour une exposition > 2mG le risque relatif est 2,7 fois plus
important
Pour une exposition > 3mG le risque relatif est 3,8 fois plus important
L’OMS déclare « Lignes et transformateurs électriques peuvent
être cancérogènes pour
l’homme » depuis 2001
Dans son Communiqué de Presse N°136 du 27 juin 2001, le Centre
International de Recherche sur le
Cancer et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), indiquent que
certains rapports datant de 1979
indiquent que des cancers de l’enfant pourraient être associés à
l’exposition aux extrêmement basses
fréquences, notamment lorsque le seuil d’exposition dépasse 0.4μT.
Lignes et transformateurs électriques
Dans son étude « Residential EMF exposure and childhood leukemia »,
parue dans la revue
Bioelectromagnetics en 2001, Daniel Wartenberg considère que sur les
2200 cas annuels de
leucémies d’enfants (moins de 15 ans) recensés aux USA, 175 à 240 (ce
qui représente 8 à 11 % des
cas) seraient attribuables à une exposition résidentielle au champ
magnétique 60 Hertz.
Pour quantifier le risque de leucémie chez l’enfant et déterminer le
nombre de cas imputables aux
champs magnétiques extrêmement basses fréquences (EBF), les auteurs du
rapport à la Direction
Générale de la Santé (DGS) se basent exclusivement, page 34, sur deux
méta-analyses, celles de S.
Greenland et de A. Ahlbom, publiées en 2000. En se référant à ces 2
études, ils concluent, page 39,
pour la leucémie de l’enfant « que 2 à 12 cas pourraient être imputables
chaque année en France aux
champs magnétiques EBF quelle qu’en soit l’origine.
Tous les travaux de recherche aboutissent aux mêmes résultats.
Les risques dus aux lignes à
haute tension existent. Les processus sont toujours identiques :
dysfonctionnement
neuroendocrinien, action sur l'hypothalamus et l'hypophyse,
accompagnés par des états de
stress.
Près de 200 000 personnes en France vivraient à moins de 100 mètres
d’une ligne à très haute
tension.
Compte tenu de ce que l’on sait des effets de ces lignes électriques sur
la santé, cette situation est
scandaleuse et inacceptable.
Ayez une bonne hygiène de vie
Pratiquez une activité sportive régulière
Limitez le stress : méditez !
Retarder l'âge de la première utilisation, les types d’exposition
et la durée
Se connecter qu’en cas d’utilité
Privilégiez le mode avion
Couper systématiquement la 4G quand vous n’en avez aucune utilité
Débranchez le wifi la nuit
Les moins de 6 ans
Pas d’utilisation d’objets connectés avant 6 ans
Optez pour du filaire
Téléphone fixe filaire
Prise RJ45 pour votre ordinateur et coupez toutes les sources Wifi sinon
cela ne sert à rien
Pack réseau filaire Ethernet pour I Pad, I Phone, I Lighting seulement
pour la marque Apple
Limitez l’exposition aux hautes fréquences
Coupez le wifi de votre box, idéalement jour & nuit
Pas de communication supérieure à 30 min
L'OMS préconise des appels de moins de trois minutes
S’éloignez des sources
Utilisez le Smartphone en mode haut-parleur
Idéalement acheter une oreillette stéthoscopique
Les autres oreillettes avec fil ou kits Bluetooth ne protègent pas, vous
avez une mini antenne dans
l’oreille, les ondes sont en contact directement avec le tympan
Evitez de téléphoner dans les transports (voiture, TGV,
métro…)
Effet cage de Faraday (le portable émet plus fort vu qu’il cherche les
antennes avoisinantes, le phénomène est
amplifié du fait que vous êtes en mouvement.
Privilégiez les sms
Réduire la durée des appels
Apprendre à utiliser ses objets connectés
Eviter de porter le Smartphone proche du coeur et des parties
génitales
Ne pas charger son portable proche de la tête la
nuit
Débrancher son portable la nuit
Le poser à plus de 2M du lit
Débranchez la box la nuit et tout objet connecté (couper son
Smartphone et laisser la box en wifi la nuit
ne sert à rien !), vos cellules se reposent !
Optez pour le mode avion
Eloignez le lit au minimum d’1m de tous les appareils
électriques émetteurs d'ondes, même éteints (baby
phones, radio réveilles, box, modems, base DECT…)
Évitez l’installation des machines électriques (lave
linge, sèche linge…) dans la pièce attenante à
votre chambre côté de la tête de lit à cause des forts champs
électriques et magnétiques (basse
fréquence)
Évitez de laisser vos enfants jouer avec le téléphone portable
en mode 3G/4G, wifi…
Optez pour les baby-phones, qui fonctionnent sans hyperfréquences (baby
phone à piles)
Eloignez vos enfants des sources telles que micro ondes, TV connectés,
tablettes, portables… ; en marche
C’est l’exposition/durée qui crée à court terme des symptômes non
visibles, puis à
moyen terme des symptômes visibles pouvant évoluer à moyen/long
terme à une
pathologie.
Pas d’utilisation intensive et à tout âge
30 min par jour est un maximum pour de la téléphonie…
La multiplication permanente des champs électromagnétiques (antennes
relais, wifi, Bluetooth, 4G,
portables…) additionnée à l’explosion de tous les appareils connectés
(jeux, consoles sans fils,
compteurs communiquant, appareils électroménagers…), implique que nous
sommes tous exposés.
Les manifestations varient d’un individu à l’autre, nous ne sommes pas
tous sensibles de la même
façon. C’est surtout l’effet cumulatif de cofacteurs qui crée
une pathologie rarement un seul
facteur. Ondes, alimentation, stress, environnement de vie
professionnel et personnel…
Les symptômes varient en fonction de l’intensité des rayonnements (mesuré par exemple en Volt/mètre, en nano tesla…) et des types champs électromagnétiques (antennes relais, radar, ligne de haute tension…).
Plus c’est puissant plus c’est dangereux !
Vous êtes médecin, thérapeute, professionnel de santé, n’hésitez pas à nous faire partager vos constats par rapport aux problématiques éventuelles de l’impact des ondes artificielles chez vos patients. Contactez nous !
Selon une étude réalisée par l’association Internet Sans
Crainte dans le
cadre du Safer Interday 2019, pour 93 % des parents, l’utilisation des
écrans est source de tension dans la famille. Parmi les sujets
de
frictions parents-enfants, arrive en tête le temps passé devant les
écrans par les ados et les enfants pour 54 % des parents, devant l’accès
aux écrans le soir (14 %), les contenus auxquels ils souhaitent avoir
accès (13 %), le portable dans les moments ensemble (10 %), et l’accès
aux écrans dans leur chambre (6 %).
Comment aider nos enfants à ne pas être accros aux écrans comme
nous-mêmes ? En leur mettant tout simplement dans les mains des livres,
des BD, des cahiers d’activité qui leur parlent d'addiction aux écrans,
d'Internet et des réseaux sociaux. Tout ça avec légèreté, humour et
poésie pour mieux les sensibiliser et nous sensibiliser aussi vers une
reconnexion avec soi même et avec nos proches !
C’est difficile d’imposer des règles et de limiter le temps passé devant
un écran alors qu’en tant que parent on a du mal à se déconnecter de son
Smartphone , de son ordinateur, de sa tablette. D’autant que la règle
qui marche chez les uns sera un échec chez les autres. Il n’existe pas
de solutions miracles, pour réduire le temps passé par les jeunes devant
leurs écrans. Ce qui fait la différence entre la règle qui
marche et
celle qui ne marche pas, c’est la manière dont elle est expliquée et
mise en œuvre dans sa famille.
Sensibiliser les parents à l’usage des
écrans et des réseaux sociaux par les jeunes est donc également
une
étape incontournable pour aider les jeunes accros aux écrans, que ce
soit la télévision, la tablette, l’ordinateur, la console ou le
téléphone portable.
Ce n’est pas en baissant les bras par facilité que les choses vont
s’arranger, mais peut être en étant plus attentif et plus proche de ses
enfants, en les regardant, en communiquant avec eux et en participant à
des activités loin du monde virtuel. Se reconnecter avec ses enfants,
son entourage, devenir plus proche, devient peut être la clef d’une
nouvelle relation bien loin de l’addiction des écrans ?