Rentabilité, productivité au dépend des générations futures sacrifiées dans l’anonymat total. L’eau comme les nanoparticules, sont un des fléaux mondiaux de santé publique. Nous sommes tous exposés mais encore plus les enfants. Quand on sait que 73,3% des pesticides les plus mesurés dans les eaux de surface sont des perturbateurs endocriniens « suspectés ». Pour les eaux souterraines, et pour l’eau du robinet, ces substances représentent environ la moitié des pesticides les plus présents. La réglementation qui fixe les teneurs maximales en pesticides dans l’eau du robinet a été modifiée en 2010 et autorise maintenant une eau cinq fois plus polluée. « Avant 2010, dès qu’on atteignait 20% de la VMax (valeur sanitaire maximale autorisée), une interdiction temporaire de consommation était décidée par le préfet. Depuis 2010, il faut atteindre 100% de la VMax ».
Une eau saine pour notre corps ou “eau vivante”, combine les qualités d’une eau pure et d’une eau
“dynamisée”.
L’immense majorité des eaux disponibles pour notre eau de boisson, qu’elles soient en bouteilles,
ou provenant du robinet, ne répond pas aux critères de base d’une eau saine pour notre santé.
Page 66 du rapport de l’Académie de pharmacie de France intitulé “Médicaments et
Environnement” nous pouvons lire: « Les eaux potables doivent répondre aux normes
européennes transcrites en droit français dans le Code de la Santé Publique. Si les textes
spécifient que l’eau de consommation humaine ne doit contenir aucun élément chimique ou
microbiologique nuisible à la santé, aucun médicament ne figure dans la liste des paramètres à
analyser ».
Autrement dit, “Potables” au sens « légal » du terme ne signifie pas forcément neutre et encore
moins bénéfiques pour notre santé.
Les produits pharmaceutiques sont consommés en très grande quantité (la consommation
mondiale de composés actifs médicamenteux est estimée à plus de 100 000 tonnes par an). La
France est le quatrième consommateur mondial de médicaments à usage humain après les États-
Unis, le Japon et l’Allemagne.
En Europe, les produits délivrés sous prescription médicale représentent environ 10 % de la
quantité totale, les 90 % restants étant constitués par les médicaments en vente libre. Les
médicaments à usage humain les plus prescrits en France sont des antalgiques à base de
paracétamol (2 000 t/an de principe actif) et des anti-inflammatoires. Viennent ensuite les
psychotropes (antidépresseurs et anxiolytiques), les bêtabloquants et les hypolipémiants.
Ainsi, les Perturbateurs Endocriniens ont des effets néfastes sur les processus de synthèse, de
sécrétion, de transport, d’action ou d’élimination des hormones. Ils peuvent, selon leur type, altérer
le taux d’hormones dans le sang, les imiter, les bloquer ou encore modifier la quantité d’hormones
envoyées aux organes.
L’équilibre de ce système est très fragile, c’est pourquoi les dérèglements que les perturbateurs
endocriniens entrainent dans notre corps peuvent avoir de très lourdes conséquences. En
particulier, dans les premières étapes de la vie, nos hormones jouent un rôle aussi important que
les gênes dans le développement physiologique de l’individu : les impacts des perturbateurs
endocriniens sur le foetus, le nourrisson, ou l’enfant en croissance peuvent s’avérer irréversibles.
Avec le recul, on associe maintenant de plus en plus ces expositions précoces à certains types
de produits chimiques à plusieurs maladies chroniques en pleine expansion telles que obésitédiabète,
cancers, troubles de la reproduction, asthme, maladies neuro-comportementales.
Environ 137 millions de molécules sont enregistrées au CAS (Chemical Abstracts Service).
Plus de 60 000 sont communément utilisées. Environ 3 000 substances majeures (principes actifs)
sont employées en pharmaceutique, 40 % d’entre elles n’ont pas de données éco-toxicologiques.
Les données disponibles dans les dossiers d’autorisation de mise sur le marché (AMM)
concernent les principes actifs, mais sur des doses actives pour l’homme ou l’animal ou sur des
doses ou des effets toxiques à court terme. Il n’y a que peu ou pas de données sur les effets à
long terme.
Il existe deux sources d’émissions, les émissions diffuses (rejets des substances
médicamenteuses via les urines et les fèces de la population humaine et des animaux de
compagnie, déchets des usagers) et les émissions ponctuelles (rejets industriels, d’établissements
de soins, élevages industriels, épandages des boues activées de stations d’épuration).
Ces effluents sont actuellement rejetés au réseau d’assainissement général relié aux
stations d’épuration, inadaptées et inefficaces comme le montrent les concentrations qui ont
pu être mesurées dans le milieu naturel et résumées dans le Tableau 1.
Tableau 1 : Concentrations de produits médicamenteux mesurées dans le milieu naturel
Type de produits rejetés | Concentrations mesurées dans le milieu naturel [1] |
Anticancéreux | De 10 à 4 500 ng/L dans les rivières européennes |
Antibiotiques | De 20 à 600 ng/l à la sortie de stations d’épuration (STEP) |
Anti-inflammatoires | De 5 à 5 000 ng/l dans les eaux superficielles de nombreux pays |
Neuroleptiques | Jusqu’à 1 000 ng/L à la sortie de STEP et eaux de surface |
Cardiovasculaires | De 40 à 1 070 ng/l à la sortie de STEP |
Produits de contraste | Jusqu’à 15 000 ng/l à la sortie de STEP et eaux de surface |
Au regard de la loi, le traitement des rejets médicamenteux dans l’environnement n’est aujourd’hui pas obligatoire même si des impacts sur l’environnement et sur l’Homme ont déjà été prouvés (annexe 4 – voir note de l’Assemblée Nationale) :
Par ailleurs, l'eau est capable de conserver certaines propriétés des substances avec
lesquelles elle a été en contact, même lorsque celles-ci ne sont plus présentes
(travaux de Jacques Benveniste, du Pr Montagné).
D'autre part, des champs électromagnétiques peuvent modifier ces informations. (voir
annexe)
Donc, l'information de l'eau est à la fois le résultat de son histoire, des influences qu'elle a subies,
mais aussi de celles qui ont modifié les informations précédentes.
En premier lieu, c’est d’être conscient de la qualité de l’eau que l’on consomme :
La probabilité pour que l’eau que nous consommions soit une eau pure et dynamisée sans
avoir rien fait est proche de zéro, (quoique cela soit néanmoins possible).
Vous retrouverez dans l’article « L’eau, source de vie, clé de la santé » , les bases sur l’importance
de l’eau pour notre corps, et sur la problématique de l’eau, dont les pollutions diverses.
Les caractéristiques de bonne santé suivant les critères bio-électroniques chers à Louis Claude
Vincent ingénieur hydrologue français, diplômé de l'École Supérieure des Travaux Publics, sont :
Sang : | 7,3 < pH < 7,45 (idéal à 7,365) | 22 < rH2 < 25 | 175 < ρ < 210 |
Salive : | 6,5 < pH < 6,85 | 22 < rH2 < 25,5 | 180 < ρ < 220 |
Urine : | 5,8 < pH < 6,8 | 21,5 < rH2 < 24 | 29 < ρ < 70 |
Vous trouverez en annexe des liens pour plus d’info si ce sujet vous intéresse, où vous pourrez par exemple visualiser un graphique montrant les différents quadrants (hors de cette zone de santé) et les problèmes typiques liés à chacun d’eux, tels que :
Pour avoir une eau de qualité, bénéfique à notre santé , nous abordons l’aspect « classique », physique, chimique et biologique, puis ensuite, son aspect « énergétique ». Rappelons brièvement quelles sont les propriétés physico-chimiques de l’eau répondant aux critères de la bio-électronique selon LC Vincent :
Beaucoup dans nos sociétés modernes sont des adeptes de l’eau minérale, donc d’eau en
bouteille, souvent par peur de l’eau du robinet, ou pour une question de goût.Ce n’est
effectivement pas pour son prix, nettement plus élevé que l’eau du robinet. Vérifiez donc l’étiquette
des dites bouteilles (sans préjuger des soucis potentiels de pesticides, …), vous verrez ce que ce
simple exercice va vous révéler. Oui, bien souvent ces informations essentielles ne sont pas
disponibles, et en général, ces caractéristiques sont parfois très éloignées de la cible à atteindre
d’une « eau de vie ».
Il y en a tout de même quelques unes qui s’en rapprochent, comme la « Spa Reine », « Rosée de
la reine », « Montclam », « Mont Roucous », mais dans tous les cas, celles-ci ont perdu leur
“énergie” avec l’embouteillage.
Si certaines eaux minérales ne satisfaisant pas ces critères d’eau de qualité, peuvent parfois être
utiles, voire très utiles pour une cure spécifique, leur consommation doit être limité dans le temps,
pour une affection particulière, mais non comme boisson de base pour la vie de tous les jours.
Pour l’eau du robinet, c’est souvent encore plus compliqué d’avoir ces informations de base, et
donc il est difficile de savoir si nous avons une eau proche ou éloignée d’une eau de vie, saine
pour nous.
Nous garderons en mémoire que la nature des canalisations qui vont acheminer notre « eau du
robinet » n’est pas neutre quant à la qualité de celle-ci. Ainsi, l’Institut de Veille Sanitaire a
découvert des dépassements de 3% de la teneur maximale de Chlorure de Vinyle tolérée dans
l’eau distribuée dans certains départements français et provenant directement de la nature des
canalisations (PVC en l’occurrence).
Que faire alors pour avoir de façon certaine, une eau de qualité ? Le seul moyen est alors
d’investir dans l’épuration et la dynamisation de l’eau qui est mise à votre disposition. Puisse être
qualifiée de « pure », et puisse pleinement remplir ses différents rôles « biologiques » dans notre
corps :
Ces paramètres, mis en exergue via la bio-électronique, doivent être caractérisés à une température donnée.
Le pH correspond à une indication de la concentration de protons (H+ en l’occurrence) et qui décrit
la nature acide (<7), neutre (=7) ou alcaline (>7) du milieu. Il est souvent qualifié de facteur
magnétique. C’est la capacité énergétique de l’eau.
L’échelle va de 1 à 14, mais n’est pas linéaire, la zone neutre est extrêmement sensible, elle varie
très rapidement. Le pH a un effet significatif pour notre santé. Ainsi le pH de l’eau est important
pour :
Pour notre « eau pure », le pH devrait être légèrement acide, idéalement autour de 6,8, ce qui est
très peu souvent le cas dans l’eau de distribution, comme de l’eau en bouteilles, quoique il soit
possible d’en trouver qui sortent sensiblement de cette valeur. L’eau que nous consommons va
affecter le pH de différents organes qui ont besoin de conditions bien spécifiques pour un
fonctionnement optimal. Un déséquilibre acido-basique va donc affecter les différents systèmes
organiques de notre corps (sang, reins, bouche, …) qui risque de provoquer des troubles
fonctionnels et des maladies métaboliques potentiellement graves.
Une eau basique ou alcaline (pH élevé) entretient un pH élevé dans l’intestin, milieu favorable pour
les bactéries dites de « putréfaction » (libérant par exemple de l’ammoniac), au détriment des
bactéries de « fermentation » (comme bifidum) qui elles préfèrent un milieu légèrement acides,
celles-ci fabriquent les vitamines B ou K, et réparent les muqueuses.
Quelques exemples de problèmes résultants d’un pH organique anormal :
Pour info, voici quelques valeurs de pH pour des produits divers :
La résistivité représente la résistance du milieu au passage d’un courant, ou de charges
électriques, c’est donc le contraire de la conductivité. Cette résistivité rô ou ρ s’exprime en ohms
(Ω).C’est une indication de la charge minérale du milieu, ou de la quantité de matière dans l’eau, et
qui n’est pas de l’eau.
Plus l’eau contient d’ions en solution, plus l’eau est conductrice et le nombre d’ohms faible.
À contrario, plus l’eau est pure, plus sa résistivité augmente (ou sa conductivité diminue) et le
nombre d’ohms est élevé. L’eau pure prend ici tout sons sens.
Pour une eau pure, et une bonne santé, la résistivité de l’eau devrait être élevée, supérieure à
15000, voire 20 000 Ω. C’est capital pour un bon fonctionnement des reins (principe d’osmose et
contre-osmose), et donc de l’élimination des toxines et la purification du sang. D’autre part, une eau
pure est aussi plus résistante aux perturbations électromagnétiques, pollution de plus en plus
courante et forte.
Cela va à l’encontre de croyances tenaces qui pousseraient à boire de l’eau fortement minéralisée,
et qui serait bonne pour la santé. Concernant ces fausses croyances, 2 points importants :
Or, la résistivité de l’eau du robinet est bien souvent < 2000 Ω, et celle des eaux en bouteille, généralement entre 500 et 5000 Ω. Nous sommes à nouveau généralement bien loin d’une eau pure, bien qu’il soit à ce niveau possible d’en trouver.
Compte tenu des éléments à éliminer de l’eau, on peut se dire que ce dont on a besoin, c’est avant
toute chose d’une technique physique, facile à gérer et peu ou pas consommatrice d’énergie donc
fiable.
Cette technique existe et se nomme l’osmose inverse. Le principe consiste à retenir les ions d’un
côté et de laisser passer l’eau uniquement de l’autre. Cette eau est donc dépourvue de toute
molécule susceptible d’être nocive à l’organisme.
Le plus simple et le plus sur est bien d’équiper son installation domestique des équipements
nécessaires et de veiller à son entretien - et ce, quelle que soit l’origine de l’eau destinée à votre
consommation.
Que peut contenir une eau destinée à la consommation avant passage au travers d’un osmoseur
(eau de ville, eau de puits, eau de source,…) ?
L’eau est ensuite mise sous pression et traverse la membrane dont la porosité est de l’ordre de 10-
10 m.
L’eau ainsi traitée est dépourvue de tous les éléments toxiques (pesticides, virus, bactéries,
résidus médicamenteux,...)
Une fois ainsi traitée, elle est stockée dans un réservoir sous pression, qui se remplit
automatiquement chaque fois qu'une partie de son eau est consommée. Enfin, l'eau passe au
travers d’une cartouche de finition au charbon actif avant d'être délivrée.
Ce dispositif fonctionne sans apport d’énergie autre que celle véhiculée par le réseau d’eau (sauf
dans la cas où la pression du réseau est inférieure à 2 bars auquel cas une petite pompe de
surpression doit être mise en oeuvre).
Nous avons ainsi obtenu une eau présentant des qualités physico-chimiques “idéales” mais une
autre caractéristique est capitale, c’est la qualité énergétique, de vie.
En résumé, nous avons obtenu une eau dépourvue de toute toxicité que l’on peut qualifier de
“pure »… mais morte !
Passons donc maintenant en revue les principales caractéristiques énergétiques que l'eau doit
avoir pour être une eau dynamisée, une eau « santé » (ce qui est très différent d'une eau potable).
Contrairement à ce que sa formulation chimique de base pourrait nous faire croire, l'eau, nous
l'avons vu, est très complexe. Mais le plus étonnant est peut-être encore à venir. Car l'eau a aussi
la capacité de mémoriser des informations et à les transmettre. C'est ce qui permettrait d'expliquer
par exemple le fonctionnement de l'homéopathie. C'est aussi pourquoi l'eau est si importante et
spécifique à la « qualité de vie », et que l'on peut parler d'eau dynamisée, ou dynamique.
Ces découvertes ont été mises en évidence par plusieurs personnes, dont Jacques Benveniste,
médecin biologiste, Teruo Higa, biologiste, Wolfgang Ludwig, physicien, Philippe Vallée,
biophysicien, Jacques Collin, ingénieur, ... et plus récemment, le Professeur Luc Montagnier. Voici
donc en résumé les faits majeurs qu'ils ont pu mettre en évidence.
L'eau est capable de conserver certaines propriétés des substances avec lesquelles elle a été en
contact, même lorsque celles-ci ne sont plus présentes. D'autre part, des champs
électromagnétiques peuvent modifier ces informations.
Donc, l'information de l'eau est à la fois le résultat de son histoire, des influences qu'elle a subies,
mais aussi de celles qui ont modifié les informations précédentes. Il a même été observé que les
pensées, les intentions, la musique, les vibrations peuvent « sensibiliser » l'eau.
Ainsi, Masaru Emoto a observé que les pensées, les intentions, la musique, les vibrations, ...
peuvent « sensibiliser » l'eau. Sachant que les cellules présentes dans le corps ont entre 65% et
90% de leur poids en eau.
Nous pouvons facilement admettre que nous sommes nous aussi des « résonateurs ». Nous
véhiculons potentiellement ce type d'informations. Il peut donc être utile d'en être conscient, et
d'avoir des pensées et des intentions adaptées...
Nous avons vu également qu’il était capital d’avoir une eau correctement « informée » et donc à la
dynamiser de manière appropriée, sans « dynamisation », ce n’est pas vraiment une eau “vivante”.
Rappelons simplement les différents moyens pour y parvenir :
L’eau qui semble si répandue et simple est en réalité très précieuse pour la vie, et très complexe,
c’est un univers à elle seule, et ses mystères sont encore nombreux.
* xénobiotique : substance présente dans un organisme vivant mais qui lui est étrangère. Il n'est
ni produit par l'organisme lui-même, ni par son alimentation naturelle.
En général, un xénobiotique est une molécule chimique polluante et parfois toxique à l'intérieur
d'un organisme, y compris en faibles voire très faibles concentrations. Deux cas typiques de
xénobiotiques sont les pesticides, et les médicaments, en particulier les antibiotiques.
Certains ont peur du fait d’une grande pureté de l’eau qui ressort d’un système de filtration, et craignent que cette « déminéralisation » de l’eau ne soit dommageable à leur santé.Rappelons donc que les minéraux dissous dans l’eau ne sont pas assimilables par notre corps. Donc une eau pauvre en calcaire ne va pas vous décalcifier, au contraire. C’est par les fruits et les légumes principalement que nous pouvons assimiler les divers minéraux dont nous avons effectivement besoin, et non via l’eau.A contrario, une eau chargée en minéraux va par contre encrasser votre organisme.Même avec le procédé d’osmose inverse classique (sans déminéralisation plus poussée), si l’on parle d’eau pure, elle n’est cependant pas complètement pure, elle reste biocompatible (ce n’est pas de l’eau distillée).
Est ce qu’un adoucisseur purifie l’eau ? Il n’en est rien. Un adoucisseur échange les ions calcium par des ions de sodium. C’est bien pourquoi il faut mettre régulièrement du sel dans l’appareil. Il est à noter que l’ajout de sodium peut être néfaste pour les personnes hyper-tendues.
On entend dire que pour se débarrasser du chlore, il suffit de mettre l’eau dans une carafe et l’y laisser se reposer (au réfrigérateur par exemple, car le froid diminue sa solubilité dans l’eau) 20 à 30 minutes, voire une nuit, et qu’il allait s’évaporer.En fait, une petite quantité peut certes s’évaporer, mais la majorité du chlore restera dans l’eau mais le gout marqué du chlore se sera estompé.Outre le problème de gout et d’odeur de l’eau lié au chlore, à noter que la toxicité du chlore et/ou de ses dérivés fait débat. De plus en plus de scientifiques font état de toxicité, principalement à long terme, ils parlent notamment de cancer (sein, colon, …), risques cardiaques … (docteur Herbert Schwartz (biologiste et chimiste au Cumberland County College), Docteur Richard Passwater (biochimiste)…).
Certains pensent que l’installation d’un système de purification et dynamisation est beaucoup trop couteuse. Pourtant, en parlant simplement du coût de l’eau, si vous achetez de l’eau en bouteille, cet investissement sera rapidement amorti. Certes, il faut investir une certaine somme au début, mais ensuite, il faut juste faire l’entretien, remplacement du filtre en général 1 fois / an ou par 2 ans. Par ailleurs, vous aurez des retombées positives pour votre santé, bien-être, énergie, …
Si vous souhaiter évaluer la qualité de l’eau que vous buvez vous pouvez consulter le site
Orobnat
Les analyses mises en lignes ne sont pas toujours complètes, parfois certaines analyses font état
des perturbateurs endocriniens et parfois non.
Family Ondes a supprimé l’intégralité des liens de notre page « librairie » vers le site Amazon pour soutenir les librairies indépendantes en France. Voici les deux sites que nous avons sélectionné pour vous :
Dans cette période de crise socio-économique sans précédent, nous avons besoin d’actes concrets, de solidarité, pour soutenir les commerces de proximité et tous les acteurs d’un commerce raisonnable et raisonné.
Le saviez-vous ?
Les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) nous font payer leurs services avec nos libertés. Nous sommes devenus des objets de commerce et nous en redemandons ! Alors dites stop !
Qu’est devenue notre liberté de conscience ? Comment pouvons-nous les laisser accéder aux détails de notre esprit pour nous manipuler de façon individualisée et automatisée. Notre vie privée et notre intimité, sont gravement en danger, sans lesquelles nous ne pouvons plus nous construire nous-mêmes.
En démocratie, personne ne peut vendre ses libertés fondamentales.