Vous devez savoir que les enfants sont plus vulnérables que les adultes lorsqu’ils sont exposés aux ondes électromagnétiques et ce pour plusieurs raisons :
Nous sommes cernés de toute part par les ondes électromagnétiques
invisibles et inodores elles font partie de notre quotidien, habitat, école, environnement extérieur et professionnel….
Pour les enfants les ondes artificielles se matérialisent par « être connectés » « vivre avec son temps » c’est
normal, simple et pratique, à la maison, à l’école, dans sa chambre, dans la voiture, dans le parc…
Heureusement certains parents s’informent et se méfient des risques potentiels !
C’est uniquement pour des raisons physiologiques que les enfants sont tout particulièrement les plus
sensibles aux ondes que les adultes. Les risques sanitaires sont bien réels, nous ne pouvons plus nier
cette évidence.
Les bébés, les enfants et les femmes enceintes sont les populations les plus vulnérables. C’est
pendant la grossesse et la petite enfance que la réplication de l'ADN et la croissance cellulaire
sont les plus intenses et actives.
Contrairement à celui d'un adulte, le corps de l'enfant est moins étanche aux ondes. Son crâne et sa peau sont
plus fins et donc son cerveau est plus fragile. Les autorités recommandent donc d'utiliser ces appareils hors
connexion.
Le dernier rapport Bio Initiative examine plus de 1 800 nouvelles études scientifiques qui montrent
que les futurs parents, les jeunes enfants et les femmes enceintes sont exposés à un risque
particulier.
" Aujourd'hui en Europe, c'est 1 enfant sur 60 qui naît autiste. Il est recommandé aux femmes
enceintes de ne pas utiliser un portable ou un ordinateur branché en Wifi, …, un certain nombre
d'enfants qui ont été exposés durant la grossesse de leur mère naissent autistes. " Pr Belpomme
Le bureau des statistiques nationales au Royaume Unis indique une augmentation de 50% des
tumeurs des lobes frontaux et temporaux chez les enfants entre 1999 et 2009.
Au cours des 25 dernières années, les chercheurs du monde entier ont mis en évidence plusieurs
risques sanitaires potentiels provenant du rayonnement durant la grossesse et la petite enfance :
Le CIRC (Centre International de Recherche sur le cancer), qui dépend de l’OMS (Organisation Mondiale de la
Santé), a classé les téléphones portables dans la catégorie des produits dont l'usage est « potentiellement cancérogène ».
Des études ont montré que les utilisateurs intensifs présenteraient un plus grand risque de développer
des cancers au niveau de la tête (cerveau, parotide, oreille interne).
Selon les experts de l’ANSES, les enfants sont les plus sensibles aux ondes électromagnétiques,
car leur cerveau est en cours de transformation.
Les moins de six ans sont de plus en plus exposés aux radiofréquences des objets connectés qui les
entourent au quotidien dès le plus jeune âge, voire in utéro. Tablettes, ordinateurs ou téléphones
portables, babyphones et le réseau Wi-Fi entre autres sont devenus des objets familiers pour les
jeunes générations.
Les experts précisent que les effets sur le bien-être ne sont pas directement liés aux radiofréquences,
mais à une utilisation intensive du téléphone portable, tablettes…
Au niveau du cerveau en particulier, certaines zones encore en transformation sont plus sensibles aux
ondes.
L'Anses recommande d'appliquer à tous les dispositifs émetteurs d'ondes "les mêmes obligations
réglementaires" que pour les téléphones. Principalement la mesure du débit d'absorption spécifique
(DAS), qui correspond à la quantité d'énergie absorbée par le corps, et la publicité de cette
information.
L'agence sanitaire voudrait aussi que les conditions de ces mesures soient révisées pour être plus
proches des conditions d'utilisation et que le niveau d'exposition générale aux ondes soit
"reconsidéré" pour assurer des marges de sécurité plus importantes, en particulier pour les enfants.
Les experts ont en revanche écarté une interdiction des téléphones portables aux moins de 6 ans,
votée en 2010 mais dont le décret n'est jamais paru.
Olivier Merckel (responsable des risques des nouvelles technologies à l'ANSES) déclare que les
champs électromagnétiques pourraient causer des problèmes sur le cerveau des enfants, en tout cas elles ont un impact.
"Lorsqu'on invite des enfants à effectuer certains tests en les exposant ou non à une source de champ
électromagnétique, leurs performances peuvent être affectées".
Tous les enfants y sont en permanence exposés, ils usent et abusent de technologies dont ils n’ont aucune
connaissance sur l’impact à moyen et long terme sur leur santé.
A qui la faute ? A leurs parents me direz-vous, en parti par manque de vouloir s’informer, mais surtout au manque
d’information nationale par les pouvoirs publics a ce sujet.
Le gouvernement a su lancer de vastes campagnes d’information: « mangez 5 fruits et légumes par jour » au
nom de la santé publique, qu’est ce qui fait qu’aucune campagne ne soit faite sur les ondes ?
Vu le drame sanitaire qui se profile pour les 3 générations à venir, certains scientifiques qualifient les ondes
artificielles comme « pire que l’amiante ». Qui auront été les cobayes pour l’enrichissement du plus petit
nombre ? Nos enfants !
Comment se fait-il qu’aucune campagne de sensibilisation ne se mette en place pour protéger nos
enfants ? Je défie le gouvernement, tous les opérateurs et les industriels dans le domaine de mettre une telle
campagne en place ? Qu’est ce qui les en empêche ? Je ne pense pas que cela réduirait leurs ventes. Au
contraire, puisque grâce à la préconisation, les achats seraient plus judicieux, plus ciblés mieux pensés. De plus,
cela leur permettrait de se positionner en tant qu’entreprise responsable pour préconiser.
Tablettes, téléphones, WIFI, base DECT, 4G…, dans leur chambre, chez les amis, dans les trains, dans les
parcs de loisirs, les bibliothèques…
Grace à ces objets connectés de toute sorte, les ondes artificielles pénètrent partout sans que l’on en parle étant
donné que l’on ne se focalise que sur l’objet de notre convoitise ! Les industriels ont bien compris qu’en touchant
notre affect, ils orientent notre attention sur l’outil connecté qui devient « indispensable sans lequel on ne peut
vivre ». Du coup, on fait complètement abstraction de l’impact des ondes sur notre santé.
Nous sommes actuellement dans un phénomène « écran » pour les enfants que l’on peut qualifier de
massif. Family Ondes tire la sonnette d’alarme sur les conséquences des surexpositions des plus
jeunes aux outils numériques sans fil et à la télévision. Ce phénomène massif touche tous les enfants
de tout pays, tous niveaux sociaux, toute tranche d’âge confondu.
Les écrans ont un pouvoir additif très puissant
Les enfants sont déjà plus que surexposés chez eux du « tout numérique en sans fil » pour les
impacter encore plus dans leur environnement scolaire pour qu’ils étudient dans de bonnes
conditions.
Directe
Ou indirecte
Toujours plus connectés, les parents abusent d’une consommation d’écran et se rendent eux-mêmes
indisponibles et inattentifs pour leurs enfants pour :
Conclusion
Ces attitudes envers nos enfants font que les parents ne sont plus en interaction avec leurs enfants.
En vouloir à nos enfants est la solution de facilité et d’irresponsabilité. Vous compter bien plus à
leurs yeux que leurs écrans. Dans la page témoignage, Samira
une maman d’un enfant de 11 ans a même été désociabilisée au sein de sa famille par
son mari et son fils qui passent leur temps à jouer à la console.
Il ne faut pas en vouloir aux enfants quand ils deviennent colériques, agressif, hyperactif,
insupportables, comme les adultes ! C’est la conséquence même des « effets écran » auquel les
parents les soumettent plutôt que de leur porter attention, partager avec eux des moments
inoubliables pour leur faire découvrir les petites choses simple de la vie, si importante à leur
développement personnel, physique et intellectuel. Bon nombre de parents les ont totalement
délaissés en disant « il faut qu’ils vivent avec leur temps ».
Les enfants deviennent « addicts » de ce fait, et développent des comportements que les parents ne
supportent pas, ne comprennent pas. Pourtant, ils en sont responsables sans vouloir le
reconnaitre. Il est bien plus facile d’emmener son enfant chez un pédopsychiatre que de se remettre
en cause pour eux pour leur santé et leur devenir tant physiologique que psychologique et
comportemental dans leurs relations à l’autre pour leur évolution future d’adolescent et d’adulte.
Prenez conscience de ces effets sans vous alarmer, car la bonne nouvelle c’est que si
vous réduisez et supprimez l’exposition de vos enfants aux écrans, vous les
retrouverez ou découvrirez complètement changés sans colères, crises de tout
genre…
Pour faire du profit sans prendre en compte d’éventuels effets sur la santé de nos enfants.
C’est aussi de notre responsabilité en tant que parents de vivre avec son temps,de se renseigner en
toute conscience pour protéger nos enfants. Les messages marketing véhiculés par les fabricants de
ces produits prônent l’utilisation de plus en plus précoce pour soit disant « les préparer aux
technologies du futur ».
Ce type de message est très intéressant mais très puissant dans l’inconscient collectif. Sans s’en
rendre compte, les parents qui ne les achètent pas se sentent coupables par rapport aux autres
familles. Ils ne veulent pas que leurs enfants soient différents pour être « intégrés » dans cette
société, pour ne pas qu’ils aient des soit disant lacunes technologiques par rapport aux autres.
« 74 % des parents pensent que plus tôt leurs enfants seront confrontés aux nouvelles technologies et
mieux ils seront armés pour leur futur, un futur de plus en plus numérique » Dr Miniou
De nos jours, les écrans viennent se substituer à un doudou, une tétine, voire un parent. Pour développer tous ses sens, grandir, devenir curieux, s’épanouir… un enfant a besoin d’expérimenter, manipuler des jouets de son âge, entendre ses parents communiquer et surtout participer et jouer avec eux.
Le simple fait de les positionner devant une TV les empêche de jouer, d’écouter et de s’éveiller.
C’est une perte de temps pour eux et c’est leur donner de mauvaises habitudes (passivité…) dans la
consommation des écrans.
Les 0/3 ans sont dotés d’une intelligence sensorielle et motrice bien plus qu’imagée ou
conceptuelle que l’on développe plus tard. Le fait de préconiser « pas d’écran avant 3 ans » est
une recommandation clinique uniquement liée au bébé et n’a rien à voir avec une prise de position
morale.
L’enfant se construit en agissant sur le monde, les écrans risquent de l’enfermer dans un statut de
spectateur à un moment où il doit apprendre à devenir acteur du monde qui l’entoure.
Selon une enquête menée par l’AFPA (l'Association française de pédiatrie ambulatoire) fin 2016 sur
les jeunes enfants et les écrans, 47% des enfants de moins de 3 ans utilisent des écrans
interactifs comme des tablettes ou des Smartphones.
Il faut comprendre que lorsqu’un adulte regarde un écran, cela crée
une double attirance pour le bébé en présence
l'adulte dirige son regard vers l'écran allumé. L’adulte n’est plus attentif à son bébé.
Les conditions de développement des bébés sont affectées par les écrans (TV, IPad, Smartphone, TV
dans les voitures...).
A l’âge de l’éveil, de la découverte, des babillages, des jeux de construction, les petits ont déjà un Smartphone ou un IPad pour rythmer et conditionner leur vie, soit disant pour les éveiller et vivre avec son temps ! Cela arrange bien les parents.
Il est très important pour le développement d’un enfant qu’il joue avec les parties de son corps, qu’ils mettent des objets à la bouche, qu’il se rende curieux de son environnent extérieur, ces explorations sont primordiales dans le développement même du langage et impératif à la création des connexions cérébrales.
Aujourd’hui rien de plus normal que de voir une maman donnant le biberon à son bébé le téléphone à
l’oreille, installer le lit du bébé dans la chambre avec la box connectée en wifi, le Smartphone posé sur
le couffin du bébé, un enfant dans les transports ou à la maison jouant sur un Smartphone juste pour
les occuper plutôt que de jouer avec eux.
Le développement d’un jeune enfant passe par la motricité et la capacité à interagir avec les adultes
qui l’entourent et avec les objets qu’il rencontre. Il existe plusieurs étapes dans le développement de
l’enfant de moins de trois ans :
Carole Vanhoutte, orthophoniste : « À 2 ans et demi, certains se comportent comme des enfants un peu “sauvages”, dans leur bulle, comme s'ils n'avaient pas eu l'habitude d'être en relation avec une autre personne. »
Pour développer ses capacités, l’enfant doit utiliser activement ses cinq sens en s’appuyant notamment sur la relation avec un adulte qui répond à ses sollicitations. Il a besoin, pour se développer, de se percevoir comme pouvant transformer le monde, ce qu’il fait par exemple quand il manipule des objets autour de lui.
Un très jeune enfant face aux écrans reçoit un flux d’images et de sons qu’il ne comprend pas et qui peuvent entraver son développement. Sans oublier que le Smartphone, l’IPad… sont connectés et émettent des ondes qui produisent un effet micro ondes.
Le regard d’un nourrisson est capté par l’écran et l’effet calmant qui s’en suit peut donner l’illusion
d’un effet positif. Or, au calme de l’enfant capté par l’image va souvent suivre une agitation, mal
comprise pouvant paradoxalement amener les parents à augmenter la consommation de télévision.
Selon Serge Tisseron (psychanalyste français), « le besoin de sécurité
sera procuré non plus par la présence de l'adulte mais bien dans le besoin d'écrans, il est
nécessaire de cadrer et accompagner les écrans à tout âge pour apprendre à s’en servir et à s’en
passer »
A l’heure du tout va trop vite, trop occupé, trop fatigué, trop tout, pour des raisons de facilité, les parents exposent leurs petits aux écrans sans se rendre compte de l’impact sur leur santé.
Beaucoup trop de professionnels de la santé, orthophonistes, pédopsychiatres, … constatent un
phénomène lié aux écrans très inquiétant. Face à ce constat « terrain », sans étude scientifiques à la
clef, ils informent et sensibilisent les parents.
Le Dr Anne Lise Ducanta, un médecin de
PMI alerte sur ces comportements «ressemblant à des symptômes autistiques» chez les enfants trop
confrontés aux écrans.
Son constat de terrain,
partagé par d'autres professionnels de la petite enfance, fait également polémique.
« En 2003, 35 enfants en difficulté m'étaient signalés par les écoles sur 1000 élèves de maternelle en
petite et moyenne section de l'Essonne, se souvient Anne-Lise Ducanda. Depuis un an et demi, on
m'en a déjà signalé 210 en grande difficulté. Toutes les semaines, je suis sollicitée pour de nouveaux
cas. À force d'en voir, j'ai fini par faire le lien avec leur consommation d'écrans».
Elle ajoute : « je ne parle pas d'enfants qui regardent la télévision une heure par jour ! La plupart de
ceux qui me sont adressés passent au moins six heures par jour devant des écrans. Certains
n'arrivent pas à parler, à encastrer trois cubes ou encore à tenir leur crayon. Les troubles sont plus
graves qu'il y a 15 ans et disparaissent dans la majorité des cas quand les parents arrivent à
“déconnecter” leurs enfants. »
Étant donné qu’il n’existe aucune réglementation pour protéger les nouveaux nés, il est important de comprendre l’impact que peut avoir l’exposition aux hautes fréquences pour le cerveau et le développement de votre bébé.
Emetteur/récepteur qui émet en continu dès qu’il est mis sous tension
Côté bébé
Côté parents
Les scientifiques estiment qu’une distance de 3 m est plus appropriée au principe de prévention.
Les radiofréquences provoquent des effets « thermiques » mais aussi des effets « athermiques » et
cela à des doses de puissance faibles, voire même très faibles d’après Roger Santini «
Téléphones mobiles cellulaires et stations relais »
Le Dr Jean Pilette (PDF livre gratuit) insiste sur le fait que « le baby phone utilisant des microondes
est à proscrire même si l'appareil n'est pas placé près de la tête de l'enfant » Dans dans
son livre « Antennes de téléphonie Mobile technologies sans fil et santé » il explique de manière claire
les risques des ondes sur notre santé.
Une étude italienne menée en 2008 sur « Disease in Childhood » montre que les bébés en
couveuse soumis aux champs électromagnétiques « voient leur fréquence cardiaque diminuer et
subissent une influence sur leurs systèmes autonomes ».
Les veilleuses que vous brancher sur une prise de courant émet un important champ électrique qui sera dangereux car ces dispositifs ne possèdent pas de fil de terre, il s’additionnera au champ magnétique
Eloignez du lit de bébé tous les appareils électriques émetteurs d'ondes, même éteints : lampes de
chevets, radio réveil, chaîne hi-fi, modem, box, téléphones, baby-phones. La distance d’1m minimum est préconisée.
Derrière la tête de lit de bébé (et même à travers le mur), évitez aussi d'y mettre des machines
électriques (lave linge, sèche linge, ordinateurs…). Les champs magnétiques traversent les murs.
Priviligiez le filaire et couper le wifi idéalement jour et nuit ou que la nuit. Les ondes seront
moindres et votre sommeil, bien meilleur !
Évitez de laisser vos enfants jouer avec le téléphone portable. Pour les babyphones, priorisez ceux qui fonctionnent avec des hyperfréquences. Lors de l'achat, privilégiez les modèles à piles, analogiques et équipés d'un mode « vox ». Cette option fait en sorte que l'appareil se déclenche seulement lorsque bébé pleure mais n'émet pas d'ondes en continu. Si vous faites réchauffer des plats au micro-ondes, éloignez bébé au maximum.
On trouve sur le marché des baldaquins de protection à installer au-dessus du lit de bébé ou
encore des oscillateurs magnétiques de compensation à placer au milieu de l'appartement à la mihauteur
de la pièce. Avant tout achat, vérifiez toutefois que les objets en question soient normés par
un organisme sérieux.
Ne pas céder à la panique
Ne pas s'alarmer en toute circonstance
Respectez quelques règles et tout ira pour le mieux !
Les perturbateurs endocriniens sont particulièrement dangereux pour les foetus, les embryons, les jeunes enfants et les adolescents. Il n’y a pas que les ondes… Si vous êtes enceinte ne pulvérisez jamais de pesticides. C’est dangereux pour vous et votre bébé. Ces conseils sont inspirés de la documentation du Réseau Environnement Santé. Ce groupe de scientifiques reconnus propose depuis des années une réflexion sur la question des perturbateurs endocriniens.
En juillet 2017, les ministères de l’écologie et de l’agriculture ont publié deux listes de produits commercialisés qui peuvent endommager vos hormones :
Impossible de les connaitre tous, gardez en mémoire les grandes catégories :
Le Bisphénol A imite les oestrogènes, hormones sexuelles féminines. Il favorise le diabète, les
troubles cardiovasculaires, les problèmes d’hyperactivité, de fécondité et de puberté précoce. Gare
aux boîtes de conserves !
Les phtalates ont une action négative sur la testostérone, l’hormone sexuelle masculine. Ils
provoquent une féminisation des foetus mâles. Ils ont un effet nocif sur les systèmes de reproduction
et peuvent provoquer les cancers hormonodépendants. Attention aux cosmétiques !
Les parabènes, comme les autres, jouent sur les hormones sexuelles. Ils ont aussi une incidence
négative sur les hormones thyroïdiennes.
Les perfluorés (3) ont un effet sur la fertilité féminine et masculine. Ils pourraient aussi avoir un rôle
dans les cancers et les maladies cardiaques. Or, en Europe et aux Etats-Unis, l’ensemble de la
population est intoxiqué aux perfluorés.
Ces molécules contiennent du fluor et résistent bien à la chaleur et repoussent l’eau et la graisse.
Elles servent donc aux revêtements de nombreux objets : moquettes, textiles, vêtements
imperméables, emballages, vaisselle en papier jetable, revêtements antiadhésifs des poêles et
ustensiles de cuisine. Non seulement ils sont toxiques mais ils persistent dans nos corps pendant des
années !
Les pesticides : on les respire et on les mange… Pourtant, eux aussi, nuisent à notre fertilité et
provoquent des cancers.
Les perturbateurs endocriniens sont particulièrement dangereux pour les foetus, les embryons, les
jeunes enfants et les adolescents.
Si vous êtes enceinte ne pulvérisez jamais de pesticides. C’est dangereux pour vous et très
dangereux pour votre bébé.
Il existe un “effet cocktail” avec les perturbateurs endocriniens. Cela veut dire que l’exposition à une combinaison de substances est beaucoup plus dangereuse que celle à une seule substance.
Consommez des produits non transformés, frais, de saison et bio.
Les canettes et les boîtes de conserves qui n’ont pas la mention “sans Bisphénol A” en sont remplies. L’idéal, comme pour les biberons, est d’utiliser le verre.
Les poêles traitées au téflon sont dangereuses pour la santé. Le téflon est un composant perfluoré. Ces molécules contiennent du fluor qui, pendant la cuisson, est transféré aux aliments.
Ne pas utiliser les plastiques qui mentionnent
Si vous tenez à utiliser des lotions de beauté, choisissez des produits naturels et bio. Evitez à l’inverse tous les ingrédients suivants :
Un vrai enseignement ou une confirmation d’une connaissance empirique ?
Toujours est-il que je vous invite à écouter le message de cette pédiatre -on peut interrompre la vidéo
pour se reposer les neurones ... près de 2h !
Mais que ça ne vous décourage pas. Les enjeux sont pour nos enfants ou petits enfants, bref, pour
notre avenir à tous.
Dr Catherine Gueguen : "Les neurosciences et le développement de l'enfant"
Pas d’écran le matin
Pas d’écran pendant les repas
Pas d’écrans avant de s’endormir
Pas d’écran dans la chambre