Il faut comprendre qu’aujourd’hui nous vivons dans un environnement complètement formaté par les
industriels, pour les industriels, ils réinventent la matière, plus rien n’est naturel autour de nous, nos
enfants sont en permanence exposés à des pollutions diverses, ondes, substances toxiques,
nanoparticules, perturbateurs endocriniens… présents dans notre environnement urbain, nos logements,
dans ce que l’on mange, ce que l’on touche, ce que l’on respire.
Les industriels ont mis sur le marche depuis les années 90 de nouvelles molécules qui n’ont pas été
testés qui sont passé dans les mailles du filet de la réglementation Reach qui oblige les nouvelles
substances à être testées sur le plan toxicologique et ce qui n’a pas été le cas pour les nanoparticules.
Ces particules si petites passent les barrières de l’estomac, des poumons, elles passent dans le sang,
les organes jusqu’au coeur de la cellule, la BHE et endommage les cellules. Auparavant, les
nanoparticules étaient principalement émises pas les industriels, des volcans, des incendies de forêts.
Aujourd’hui, les nanoparticules font une tout autre utilisation. Elles ne sont pas nécessairement plus
dangereuses, elles envahissent complètement le marché dans l’alimentation, les vêtements, les
cosmétiques, les médicaments…
Tant dans le domaine de la recherche que pour les applications industrielles, les nanomatériaux font
l'objet d'un intérêt croissant et d'un développement très rapide. Toutefois les connaissances sur les
risques liés aux nanoparticules sont à ce jour limitées aussi bien pour l'environnement que pour
l'homme. Une attention particulière est apportée aux problèmes de définitions, de règlementation, de
risques toxicologiques, éco toxicologiques mais aussi des mesures de prévention et de protection à
préconiser.
« Alerte sur les pollutions atmosphériques aux nanoparticules dans l’air »
« Recommandations sanitaires et comportementales »
Cette démarche d’information sur les pollutions atmosphériques est la voie de l’avenir si nous voulons :
Retenons qu’une norme légale n’est pas une limite biologique !
En tant que citoyens responsables, nous nous devons de faire en sorte que nos enfants aient un
avenir meilleur. Nous ne sommes pas en train de dire que nous allons changer le monde, mais si
nous ne faisons rien, ce sont nos enfants qui seront les prochaines victimes.
Les pics de pollution atmosphérique que nous constatons depuis plusieurs années ne sont que les
prémisses, vu l’ampleur de ce phénomène sur la planète dont nous ne sommes absolument pas prêts à
faire face. La Chine est bien en avance ! L’impact sur la santé de nos enfants et surtout sur leur devenir
est important. Nous ne pouvons minimiser les choses.
Le nier, dire « je n'y crois pas » est un comportement irresponsable, qui trouve son fondement
dans un formatage scientiste qui n’a rien de scientifique.
Trop d’enfants souffrent de troubles liés à la pollution sans que les médecins le reconnaissent
réellement, on entendra fréquemment « bronchite, rhinopharyngite, laryngite… » La réponse ne se
trouve- t-elle pas en partie dans la qualité de l’air que nous respirons ?
Ne devrions-nous pas, par principe de précaution se mobiliser pour les protéger ?
A qui la faute ! A nous seul !
Il est important de rappeler que les pics de pollutions sont activés « officiellement » par l’état bien après
le début du pic. Bon nombre de parents ont pu le constater lors des pics de 2016. Il existe suffisamment
de données aujourd’hui pour évaluer l’impact de la pollution sur la santé, des jeunes, des personnes
vulnérables et sensibles.
Le principe de précaution relève du bon sens, mais il semble que le bon sens ne soit pas un critère de
sélection pour nos dirigeants.
« Les particules qui atteignent les bronches mesurent 10 micromètres et les plus petites vont
encore plus loin. A moins de 0,1 micromètre, elles passent dans le sang et se répandent dans
tous l'organisme jusqu’au coeur des cellules. »
Pour le professeur Denis Charpin du CHU Nord de Marseille, "Les masques vendus dans le commerce
ou en pharmacie ne protègent pas de la pollution,
croire le contraire est illusoire."
"Les masques n’arrêtent que les bactéries et les postillons", renchérit le pneumologue pédiatre et
allergologue Nhân Pham-Thi. "Les particules, sont trop fines pour être retenues par le tissu". Les seuls
masques qui pourraient éventuellement permettre de se prémunir de la pollution sont ceux fournis dans
le milieu hospitalier, avec lesquels "on transpire beaucoup", selon le professeur Charpin. Intenable sur
une journée entière. Ou encore les masques à gaz... peu répandus pour le commun des mortels.
"Pour limiter le passage des particules, il faut éviter de faire des efforts", rappelle le docteur Nhân
Pham-Thi. Ce n’est donc pas le meilleur moment pour faire du vélo, ou d'autres activités sportives,
marche rapide, courir. "Les personnes âgées, les enfants et les personnes sensibles doivent éviter de
sortir." Sans oublier les personnes allergiques, elles aussi vulnérables. Fumer est également
déconseillé ».
Selon l’Institut National du cancer
La pollution de l'air par des particules fines (d'un diamètre inférieur à 2,5μg, ou PM 2,5) est un enjeu
majeur de santé publique. Elles représentent en effet l'un des principaux facteurs de risque sanitaire
lié à cette pollution (asthme, allergie, maladies respiratoires ou cardiovasculaires, cancers...).
En octobre 2013, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a classé l'ensemble des
particules fines, ainsi que la pollution de l'air extérieur, comme des cancérigènes certains (groupe 1)
pour l'homme. Les experts ont conclu, que la pollution atmosphérique constitue donc non
seulement un risque majeur pour la santé en général, mais aussi un facteur de risque
environnemental de décès par cancer.
Concernant les enfants, différents facteurs environnementaux sont suspectés dans le développement de
leucémies. Dans le Bulletin de veille scientifique (BVS) de l'ANSES révèle que deux études récentes,
l’une menée en France et l’autre en Suisse, concluent à l'existence d’un lien entre le fait de vivre à
proximité d’une route à fort trafic et la survenue de ce type de cancer, le plus fréquent chez l'enfant. Ces
résultats confirment la nécessité de prendre des mesures concrètes pour réduire l’exposition de la
population aux émissions de véhicules, comme évoqué, notamment, dans le PNSE 3.
En cas de gêne respiratoire ou cardiaque (par exemple : essoufflement, sifflements, palpitations) :
Population générale : Pour connaître le détail des recommandations, consultez l’arrêté ministériel du 20 août 2014
Populations vulnérables : femmes enceintes, nourrissons et jeunes enfants, personnes de plus de 65 ans,
personnes souffrant de pathologies cardiovasculaires, insuffisants cardiaques ou respiratoires, personnes
asthmatiques.
Populations sensibles : personnes se reconnaissant comme sensibles lors des pics de pollution et/ou dont
les symptômes apparaissent ou sont amplifiés lors des pics (par exemple : personnes diabétiques, personnes
immunodéprimées, personnes souffrant d’affections neurologiques ou à risque cardiaque, respiratoire,
infectieux).
Les particules fines ont des tailles très différentes. Les plus grandes mesurent jusqu'à 2,5 micromètres et les plus petites peuvent être jusqu'à 1000 fois plus fines. "Dans les épisodes de pollution, assure Véronique Riffault, Professeure en sciences de l'atmosphère à l'Ecole nationale supérieure des Mines de Douai, la majeure partie n'excède pas la taille d'un micromètre." Les particules fines ne sont donc pas du tout filtrées avec un simple foulard. Cette méthode parce qu'elle limite les odeurs donne l'impression qu'elle est efficace mais les mailles des tissus sont beaucoup trop épaisses".
Véronique Riffault souligne : "ils sont au pire inefficaces", Ainsi donc difficile de conseiller le port d'un
masque sauf pour les microbes. "Pour prendre soin de notre système respiratoire et cardio-vasculaire,
mieux vaut éviter au maximum les efforts. L'activité physique augmente les inspirations et donc
l'ingestion de particules fines dans tous les cas. Il faut fonctionner à bas régime en période de pic",
préconise donc la spécialiste.
Elle précise aussi que ce n'est pas pendant les pics qu'il faut seulement s'inquiéter de cette pollution.
"L'exposition aux particules fines à faible dose et en continu pose de vrais problèmes". Les particules
fines ne posent pas seulement problème pour notre système respiratoire mais pour tout notre corps. Les
plus fines d'entre elles parviennent en effet à passer dans le sang.
Selon le dernier rapport de l'Agence Européenne de l'Environnement publié en novembre 2016, 10%
des citoyens européens en zones urbaines sont exposés à des concentrations supérieures aux valeurs
limites. "Selon les recommandations de l'OMS, c'est environ 80% de la population urbaine qui subit des
concentrations trop importantes", rappelle Véronique Riffault.
Plus la qualité de l'air est mauvaise, plus il est important de prendre des pauses, de faire des activités moins intenses et de surveiller les symptômes. Rappelez-vous que les étudiants souffrant d'asthme seront plus sensibles à l'air malsain.
Les élèves respirent plus fort lorsqu'ils sont actifs pendant une plus longue période de temps ou lorsqu'ils font des activités plus intenses. Plus de pollution pénètre dans les poumons quand une personne respire plus fort. Réduire l'intensité des activités afin que les élèves ne respirent pas si fort (Ex : Marcher à la place de courir)
La pollution par l'ozone est souvent « pire » lors des chaudes journées ensoleillées, en particulier
l'après-midi et le début de la soirée. Planifiez des activités en plein air le matin, quand la qualité de l'air
est meilleure et elle n'est pas aussi chaude.
La pollution des particules peut être élevée à tout moment de la journée. Étant donné que les gaz
d'échappement des véhicules contiennent de la pollution par les particules, limitent l'activité près des
voitures et des autobus en marche au ralenti et près des routes très fréquentées, surtout pendant les
heures de pointe. Limitez également l'activité en plein air quand il ya de la fumée dans l'air.
Les périodes anticycloniques, comme nous avons vécu à plusieurs reprises de novembre à décembre
2016 et janvier 2017 sont extrêmement liés aux conditions atmosphériques qui accentuent cette
problématique de pollution.
Rendez-vous sur atmo. De nombreuses villes ont une prévision de l'indice de la qualité de l'air (AQI) qui vous indique la qualité de l'air local plus tard aujourd'hui ou demain, et un AQI actuel qui vous indique la qualité de l'air local. Inscrivez-vous aux emails.
Cela dépend du polluant qui cause le problème : Ozone, et/ou dioxyde d’azote, et/ou dioxyde de souffre, et/ou particules fines.
Un plan d'action contre l'asthme est un plan écrit élaboré avec le médecin d'un étudiant pour sa prise en charge quotidienne. Il comprend des médicaments, le contrôle des déclencheurs et la façon de reconnaître et de gérer l'aggravation des symptômes. Lorsque l'asthme est bien géré et bien contrôlé, les étudiants doivent être en mesure de participer pleinement à toutes les activités.
Family Ondes a supprimé l’intégralité des liens de notre page « librairie » vers le site Amazon pour soutenir les librairies indépendantes en France. Voici les deux sites que nous avons sélectionné pour vous :
Dans cette période de crise socio-économique sans précédent, nous avons besoin d’actes concrets, de solidarité, pour soutenir les commerces de proximité et tous les acteurs d’un commerce raisonnable et raisonné.
Le saviez-vous ?
Les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) nous font payer leurs services avec nos libertés. Nous sommes devenus des objets de commerce et nous en redemandons ! Alors dites stop !
Qu’est devenue notre liberté de conscience ? Comment pouvons-nous les laisser accéder aux détails de notre esprit pour nous manipuler de façon individualisée et automatisée. Notre vie privée et notre intimité, sont gravement en danger, sans lesquelles nous ne pouvons plus nous construire nous-mêmes.
En démocratie, personne ne peut vendre ses libertés fondamentales.